1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
1 avec les groupes personnalistes (où militent des disciples de Reynold côte à côte avec des dirigeants de syndicats, des socialis
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
2 istes, et toute l’œuvre de Nietzsche, son fervent disciple et jeune collègue de faculté, est marquée par cet enseignement. Plus
3 es comme Chardin les fruits. J. H. Füssli, jeune disciple de Lavater et de l’École suisse de Bodmer à Zurich, met en peinture l
4 ui demanda pas de dessiner sont les œuvres de ses disciples , dans le monde entier. Il a construit en France la plus belle église
5 doxe de sa carrière, pleine de surprises pour ses disciples . Pendant la guerre, ce contempteur de toute espèce de « politique chr
6 concevable, et de fait il n’a pas eu lieu. Leurs disciples (pasteurs et théologiens d’un côté, médecins psychiatres et philosoph
7 e centre était à Strasbourg, comptait beaucoup de disciples chez les Suisses : Nicolas de Flue, qui venait de mourir, avait résum
8 Valaisan Maurice Zermatten et pour C.-F. Landry, disciples de Ramuz et comme lui s’attachant à la vie des hommes proches de l’él
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
9 llemand le texte fondamental de la Confédération. Disciple de Tschudi et partisan de l’existence historique de Tell, ainsi que d