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dire, qu’on ne voit guère en quoi son Histoire se
distingue
de celle qu’eût pu écrire un savant laïque épris de tolérance, teinté
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t dans sa situation. Mais en quoi le chrétien se
distinguera-t
-il donc de l’incroyant ? En rien d’autre qu’en ceci : qu’il est appel
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Elle est aussi absurde que la passion, mais s’en
distingue
par un refus constant de subir ses rêves, par une constante prise sur
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vocation de la personne, vocation qui, à la fois,
distingue
l’homme et le relie à la communauté où il l’exerce. C’est d’ailleurs
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e la confluence des sources les plus diverses, se
distinguait
par là de toutes les autres, monolithiques et homogènes. Voilà pourqu