1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 basse, règne une pénétrante odeur de laurier. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des outils et des treilles pour
2 aire », à cet égard.) D’autre part, elle m’aide à distinguer l’un des motifs au moins de ma gêne, quand je constate qu’ils ne comp
3 vivre une vie humainement absurde. Non qu’il n’en distingue pas l’absurdité, mais simplement il sait pourquoi il la subit. Fils d
4 contraire, il peut travailler davantage. Il ne se distingue donc d’un intellectuel rentier que par le manque de revenu assuré. Ma
5 me. Et il me plaît de croire qu’elle s’ignore. Je distingue clairement ceci : il y a une immense libération intérieure dans la ce
6 n de Paris, comme nous vivons ici, pour arriver à distinguer  : eux ne s’en doutent pas, ils l’ont naturellement, et ne croiraient
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
7 ’usines grattent le bas d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. parmi les rangées de peupliers : il faut sui
8 contre, et il se méfie par principe de celui qui distingue et nuance. On ne tiendra jamais assez compte de cette opposition fond
9 feu dans la cour. Est-ce qu’ils la rôtissent ? On distingue des étoffes noires qui se gonflent sur le brasier… Je me suis réveill
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
10 , et d’une population de couples aux balcons. (Je distingue nos fenêtres obscures.) Ville aérienne, où la hauteur des murs n’évoq