1 nt d’une sorte de daltonisme : ils ne savent plus distinguer l’homme en tant qu’homme, la personne. L’aspect pathologique et propr

2 fiance naïve que nous donnons aux techniciens. Je distingue dans ce culte le premier temps du refoulement personnaliste, le sympt

3 ois pécheur et sauvé, sans qu’il soit possible de distinguer dans le temps une précédence, des stades successifs. Notre réalité es

4 e des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer  ; et surtout elle impose un choix, d’ailleurs humainement impossible,

5 n’avait rien d’harmonieux. On pouvait cependant y distinguer deux thèmes que je tentai d’analyser dans les conclusions que voici.

6 temps de cet homme est plein, et nul n’y pourrait distinguer des heures « creuses » ou des efforts stériles. Est-ce un long loisir

7 une culture dont l’ambition suprême était de se «  distinguer  » des contingences, ils étaient au moins purs dans leur erreur. Les m

8 chir pour son compte, et qui, de ce fait même, se distingue du groupe naturel, et s’isole. Le groupe primitif, la tribu, est lié

9 s la cité, bien au contraire, chacun cherche à se distinguer . On met son point d’honneur à faire mieux que le voisin, ou tout au m

10 ue de son chien pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue . C’est là encore, bien qu’aux antipodes de Socrate, une définition de

11 puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer . Et ce n’est pas non plus la persona du droit romain, puisque l’homme

12 nouveau. Car le rôle que Dieu attribue à un homme distingue cet homme, l’isole, mais en même temps le remet en communication avec