1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 , et un homme d’État né : autant de traits qui le distinguent de Luther. Il se signala d’abord par ses prêches violents contre le m
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 leur organisation présente. C’est ainsi que l’on distingue la commune « bourgeoise » comprenant les descendants des familles fon
3 e son aile gauche. Quant aux Indépendants, ils se distinguent par un esprit d’entreprise qui fait oublier leur effectif restreint,
4 ersistent à se qualifier de « nationaux » pour se distinguer d’elle. La majorité des syndicalistes et des membres des coopératives
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 n 200 000 membres au total). Ces organisations se distinguent des syndicats américains en ce sens qu’elles n’exercent pas une influ
4 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
6 la civilisation occidentale, il est classique de distinguer entre familles rurales et citadines, catholiques et protestantes, ais
7 isse calviniste, qu’à la réalité présente. Ce qui distingue la presse suisse de ses voisines, c’est plutôt sa méfiance à l’égard
5 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
8 uctibles. Son esprit juridique, son souci de bien distinguer les prérogatives de l’Église de celles de l’État, n’ont jamais été bi
9 Il traduit d’une part la volonté originelle de se distinguer du catholicisme romain, d’autre part une tournure d’esprit positive e
6 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
10 rois groupes romand, alémanique, et tessinois, se distingue bien nettement du grand ensemble auquel il appartient par la langue o
11 la férule de la Prusse, la Suisse alémanique s’en distinguait davantage par son climat moral et ses institutions. Certes, l’esprit
12 elle de leurs confédérés romands. Ces derniers se distinguent de la France tout autrement que les premiers ne se distinguent de l’A
13 e la France tout autrement que les premiers ne se distinguent de l’Allemagne. Il n’y a pas de dialectes romands. Le français de Fra
14 r par une certaine vivacité de réactions, qui les distingue (c’est eux qui le disent) des Bernois ou des Zurichois, si solides, s
15 s, comme par ses origines géohistoriques, elle se distingue essentiellement de toute autre neutralité pratiquée dans le reste de