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es ! On n’en finirait pas de les préciser, de les
distinguer
, de les contraster — jusqu’au moment où ils apparaîtraient, peut-être
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Mais venons-en aux textes grecs. G. de Reynold22
distingue
trois étapes dans le passage de la conception mythique et géographiqu
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nes qui, par leur dissemblance de caractère, font
distinguer
l’Asie de l’Europe. Dissemblance qui s’étend à tel point à certains p
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aucun titre à cette glorieuse prééminence qui la
distingue
aujourd’hui. Petit continent, qui possède le moins de richesses terri
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. C’est donc à ses saints que l’Europe doit de se
distinguer
enfin de « l’Occident » — si mal vu par les spirituels — et de revêti