1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 es ! On n’en finirait pas de les préciser, de les distinguer , de les contraster — jusqu’au moment où ils apparaîtraient, peut-être
2 Mais venons-en aux textes grecs. G. de Reynold32 distingue trois étapes dans le passage de la conception mythique et géographiqu
3 nes qui, par leur dissemblance de caractère, font distinguer l’Asie de l’Europe. Dissemblance qui s’étend à tel point à certains p
4 aucun titre à cette glorieuse prééminence qui la distingue aujourd’hui. Petit continent, qui possède le moins de richesses terri
5 . C’est donc à ses saints que l’Europe doit de se distinguer enfin de « l’Occident » — si mal vu par les spirituels — et de revêti
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
6 chie (1308), l’essai de Pierre Dubois (1306) s’en distingue par un empirisme sans vergogne, ou si l’on veut, par un sens politiqu
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
7 s militaires et de combler d’honneurs ceux qui se distinguaient dans l’art de la guerre. En effet, en Grèce, sans compter le royaume
8 l y a d’empires, plus on voit de grands hommes se distinguer , il s’ensuit nécessairement qu’empêcher leur élévation, c’est étouffe
9 litaires et ils honoraient donc tous ceux qui s’y distinguaient . Mais aujourd’hui cette terreur a presque complètement disparu. On ne
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
10 s, possèdent de commun et d’irremplaçable. Ce qui distingue les écrits de Sully de ceux de ses prédécesseurs et contemporains, c’
11 tre à Voltaire99 : L’abbé de Saint-Pierre, qui me distingue assez pour m’honorer de sa correspondance, m’a envoyé un bel ouvrage
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
12 premiers pas. Par elle seule enfin, ce génie qui distinguait la Grèce et Rome d’avec les barbares vit encore aujourd’hui dans l’Eu
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
13 t le système des arts, des lois et des mœurs, qui distinguent si avantageusement les Européens et leurs colonies. Les peuples sauva
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
14 ope dans le monde. Hors du drame de Paris, on les distingue mieux. Les plans d’union de l’Anglais Bentham, de l’Italien E. L’Auro
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
15 prétend harmonieux. Trois groupes principaux s’y distinguent  : les libéraux, les réactionnaires (désespérés ou visionnaires) et le
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
16 et dans les Leçons sur l’Histoire moderne. Elles distinguent fortement Schlegel et les romantiques allemands, même romanisés, de J
17 continue et progressive de l’absolu. Nous pouvons distinguer trois périodes dans cette manifestation et, par conséquent, aussi tro
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
18  ; qu’aucun peuple ne surpasse l’autre ou ne s’en distingue par quelque trait particulier qu’il serait né pour développer ; que t
19 ulté qu’aussitôt l’on a perdu la notion de ce qui distingue un sage d’un sot, l’intelligence du sentiment, voire l’homme de la fe
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
20 paraissent essentielles à l’Europe, qui par là se distingue de l’Asie-mère, encore qu’elle en ait hérité les éléments d’uniformit
21 administrative et gouvernementale par laquelle se distinguent , ex æquo, les démocraties impériales, les monarchies constitutionnell
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
22 ion », ou « humanisation », ou « progrès » ce qui distingue aujourd’hui les Européens ; qu’on appelle cela simplement, sans louan
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
23 u’il est le seul alors, le premier en tout cas, à distinguer aussi clairement — celui du commandement européen. C’est sous cet ang
24 d’une unité spirituelle. Ici encore, il faut bien distinguer entre le fait et la conscience du fait. Un éminent historien anglais,
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
25 prit cette soif révolutionnaire de la justice qui distingue socialement l’Occident. Et de même, ajoute Siegfried, ce n’est pas d
26 laquelle de ces nations. Et il pourrait aussi se distinguer dans n’importe quelle profession : comme ingénieur ou chef d’équipe,
27 quel côté à peu près nous devrions chercher pour distinguer , ne fût-ce que les ombres de cette réalité que l’esclavage de Platon,
28 lement livrée au libre arbitre. Il s’agit donc de distinguer les niveaux auxquels chacune d’elles est le mieux adaptée. Les formes
29 la palette. La Constitution européenne doit donc distinguer et séparer avec art, comme cadre et tableau, ce qui relève de la civi