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s personnalistes sont convaincus qu’il importe de
distinguer
individu et personne, autant ils ne mettent nullement en doute le car
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e française, pour sa fortune ou pour son malheur,
distingue
le langage écrit du langage parlé. C’est pourquoi nous assumons toute
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x cas, le problème est toujours de définir ce qui
distingue
et unit à la fois, qu’il s’agisse, comme au concile de Nicée, des deu
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ours et nécessairement à toute volonté d’unir. Je
distingue
bien unifier et unir, unifier étant l’acte impérialiste, unir étant l
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s réelles et les finalités alléguées. Comment les
distinguer
? Il y a dans les discours des hommes politiques ce qu’on pourrait ap
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utés et leur union ; il suppose quelque chose qui
distingue
ces communautés, et quelque chose qui les relie ; quelque chose qui a
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de recherche à tout prix et de progrès. Voilà qui
distingue
complètement, dès les origines de notre culture, l’Occident de l’Orie
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est pourvu de caractéristiques culturelles qui le
distinguent
notamment de l’Orient : il est des mythes spécifiquement occidentaux
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solidarité. La vocation que reçoit un individu le
distingue
plus que n’importe quoi de tous les autres, et en même temps l’exerci
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qui transcende la raison, oriente l’individu, le
distingue
de la tribu, de sa famille et de sa tradition et en même temps le met
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pas capable de lui donner un nom ; un nom qui la
distingue
d’autres politiques, qui précise du même coup les buts que l’on veut
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suivante des éditeurs : « Politique et utopie se
distinguent
, mais s’épaulent mutuellement : si la politique est l’art de choisir
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les consciences. La nation idéologique moderne se
distingue
ainsi de l’idée originelle : la communauté de naissance. La pensée oc