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t traduit quelque étourderie. 1. Des hommes aussi
divers
et aussi respectables que MM. Massis, Henry Bordeaux, Edmond Vermeil,
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agé l’erreur fatale et prolongée des bourgeois de
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pays. Si nous prétendons défendre le christianisme, agissons d’abord
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e est du reste un pays si vaste, si mélangé et si
divers
, que tout y est toujours vrai quelque part. C’est un résumé de la pla
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osé à partir des réalités de notre culture une et
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, les conclusions suivantes me paraissent en découler : 1. Le Marché c
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s du monde : 36 000 étudiants en additionnant les
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campuses dispersés sur tout l’État. Ici, à Berkeley, ils sont plus de
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soleil ou sur des bancs, jonchent les marches des
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halls. Beaucoup sont de couleur, toute nuance. Tous portent le même a
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me langue, dussent la quitter parlant des langues
diverses
, et incapables de plus jamais s’entendre pour accomplir leur dessein.
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mprendront plus, je veux dire l’Université et ses
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facultés, et les subdivisions de ces facultés, et tous les instituts
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de son côté, et les représentants des disciplines
diverses
n’ont souvent plus guère en commun que des platitudes quotidiennes ou
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a posé dans l’histoire, c’est celui de l’Un et du
Divers
également réels et valables, dont le problème des relations entre sav
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roupes de chercheurs représentant des disciplines
diverses
. Par leur réunion physique en séminaires restreints, ils créeraient c
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méthodes, démarches spécifiques et résultats des
diverses
branches du savoir. Limites d’un tel langage, et comment y suppléer p
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e des esprits supérieurs des disciplines les plus
diverses
à un très haut niveau de précision. Mais on peut craindre que le lang
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ssort de notre pensée : l’antinomie de l’un et du
divers
, l’unité dans la diversité, et la coexistence féconde des contraires.
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sporte en Dieu lui-même le paradoxe de l’un et du
divers
, tandis que l’Incarnation porte à l’extrême la coexistence des contra