1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 les armements de l’impérialisme nucléaire, cette division du monde en États souverains ne peut conduire qu’à une guerre général
2 ale et de la liberté responsable des citoyens. La division du continent européen en États-nations nécessairement rivaux fait éch
3 du réel au hasard des guerres et des traités. La division du continent en quelque 28 « souverainetés nationales absolues » expl
4 nt pas, traduit cependant la réalité de l’état de division du continent. Si nous nous sentions européens, membres d’une communau
5 tisme actuel n’est justifié que par notre état de division , par le refus de nous fédérer. Derrière nos représentations exagéréme
6 paraisse être assurée par la présence de quelques divisions américaines en RFA, non par l’union des forces et des volontés europé
7 ble ou de périr séparément. Dans l’état actuel de division de l’Europe en 30 États souverains qui, pour mieux affirmer leur souv
8 ntent sa raison d’être. Dans leur état actuel de division , nos « souverainetés » ne peuvent en effet : — ni résister à la colon
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
9 faut partir d’autre chose que de ses facteurs de division , il faut bâtir sur autre chose que sur les obstacles à l’union, espér
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
10 . Celui du général Robert Close, commandant d’une division blindée belge, et qui fut directeur des études au Collège de la défen
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
11 , allemande, bruxelloise —, mais au-delà de cette division que le xixe siècle eût imaginée sans peine, il prévoit beaucoup plus