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nt sommet du massif du Mont-Blanc, et un grade de
docteur
ès lettres, vient de nous donner un livre bien utile22. En vérité, il
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ent été les affirmations souvent indignées de nos
docteurs
, un fait prit corps, irréfutable : dans l’esprit du Français moyen, «
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te ». Était-ce qu’il y avait dans l’accent de ces
docteurs
-là quelque chose qui les empêchait de convaincre ? Tel étant l’état d
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st nous ordonne d’être : le prochain. Lorsque les
docteurs
de la loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se leva et lui d
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leva et lui dit : Mais qui est mon prochain ? Ce
docteur
se disait sans doute : aimer son prochain, c’est bien vague, cela me
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par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le
docteur
de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu
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sont, en fait, avec Érasme et son armée de grands
docteurs
de tous les siècles pour soutenir le libre arbitre religieux, c’est-à
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ction des personnes ? Posons ces questions-là aux
docteurs
de l’Église. Mais voici ce que nous devons affirmer dès maintenant :
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ésigner les relations constituant la Trinité, les
docteurs
grecs avaient adopté le terme latin de persona (rôle social). C’est c