1 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
1 us ceux qui au nom de la stricte observance d’une doctrine qu’ils sont incapables de dominer, condamnent ce qui fait la vie même
2 a critique violente et constructive de toutes les doctrines régnantes, y compris celles qui sont officiellement révolutionnaires.
3 Nous sommes bien décidés à ne pas rancir dans une doctrine donnée. La seule pureté vraiment révolutionnaire, c’est celle de la v
2 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
4 plutôt que de porter un jugement objectif sur ses doctrines . Ce que je veux dissiper, c’est le malaise créé chez vos lecteurs, — 
3 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
5 assez puissant pour animer la plus sclérosée des doctrines étatistes, la France offre le spectacle de sa gérontocratie bavarde,
6 érieusement aux vertus « révolutionnaires » d’une doctrine destinée à périr avec le système régnant, qu’elle croit combattre, et
4 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
7 ntale ? Au risque de schématiser quelque peu leur doctrine , disons qu’ils reprochent avant tout aux trois révolutions établies d
8 uis et Alexandre Marc n’ont pas écrit un livre de doctrine . S’adressant au grand public avec autant de précision que pouvait en
5 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
9 ns le machinisme, par exemple, mais bien dans les doctrines qui ont assuré le développement actuel du machinisme. C’est dans cet
10 ent actuel du machinisme. C’est dans cet humus de doctrines périmées que plongent « les racines du malheur », c’est lui d’abord q
11 ont les caractères spécifiques de notre effort de doctrine  ? C’est d’abord une volonté de considérer les problèmes économiques e
12 du ressort même de sa liberté (par l’effet d’une doctrine matérialiste) ou du champ de cette liberté (par l’effet d’une doctrin
13 ) ou du champ de cette liberté (par l’effet d’une doctrine étatiste) ? En présence de ces faits, nous disons que le problème du
14 ctement qu’à partir de la personne ; que seule la doctrine personnaliste, parce qu’elle le transcende et le replace dans une tot
15 de changement de plan la forme générale de notre doctrine . Nous nous excusons de l’aspect théorique que prend forcément cet exp
16 faire sentir tout de suite le concret d’une telle doctrine , voyons d’abord quelles institutions elle nous oblige à combattre et
17 hine, mais parce qu’aucun contrôle humain, aucune doctrine totale et transcendante ne pouvait intervenir au xixe siècle pour or
18 et humaniser ce développement. En second lieu, la doctrine de la personne nous oppose à tout soviétisme stalinien. Il est trop f
19 Contre lui, nous maintiendrons la primauté de la doctrine , avec tout ce que cela comporte, en apparence, de sécheresse techniqu
20 ais pour que l’acte soit réel, encore faut-il une doctrine et des institutions qui le traduisent en faits. Les aristocrates de l
21 rons de répondre par une citation de Lénine : La doctrine socialiste est née des théories philosophiques, historiques, économiq
22 s intellectuels bourgeois. De même, en Russie, la doctrine sociale-démocrate surgit indépendamment de la croissance spontanée du
6 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
23 urtout insister sur la nouveauté d’un chapitre de doctrine tel que « Esprit et Révolution », et sur l’Esquisse d’une théorie gén
24 ccommode à merveille d’un régime dictatorial ? La doctrine de l’Ordre nouveau définit une personne qui n’a rien à voir avec cet
25 onde objection concerne l’efficacité probable des doctrines de la Révolution nécessaire. Fernandez ne croit pas à l’existence con
7 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
26 testants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)l Y a-t-il des jeunes protestants ?
27 possibilités pratiques fidèlement déduites de la doctrine . I. Ce que la foi nous dit de faire En dépit de certaine polémiq
28 se, il n’existe pas de théorie du désordre. Toute doctrine sociale, fût-elle la plus subversive, est la doctrine d’un certain or
29 rine sociale, fût-elle la plus subversive, est la doctrine d’un certain ordre terrestre, d’un certain aménagement des activités,
30 mesure (ou hiérarchie) sociale imposée. C’est une doctrine pessimiste, une politique de la camisole de force. Tel qu’il devrait
31 ue du devenir et de l’évolution fatale. C’est une doctrine optimiste, dont la mesure n’est pas dans le présent injuste, mais dan
32 connaît mieux. Comme le marxiste, il sait que sa doctrine n’a pas à expliquer le monde, mais à le transformer — seulement, il s
33 ncore matière d’enquête. (On n’enquête pas sur la doctrine chrétienne.) Mais la disposition de ces évidences va peut-être nous p
34 des ouvriers ne pose-t-elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manquer à son to
35 tuelles. C’est un péril proprement protestant. La doctrine calviniste de la vocation ou des charismes nous y expose davantage qu
36 un acte de foi, qui transcendent le plan de toute doctrine sociale. Mais il fallait en parler ici : elle marque le pôle du refus
37 cussion honnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales développées par Esprit et surtout par l’Ordre
38 ns, si seulement elles s’étaient données pour des doctrines de droite, ou de gauche. Mais c’est précisément ce genre d’adhésion s
39 ppement normal, les cadres de l’ordre ancien. Une doctrine rigoureuse, qui s’exprime directement dans une tactique souple, dont
40 ue du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, dont on trouvera la première synthèse dans l’ouvrage impo
41 n marquant la coïncidence de ces principes et des doctrines que nous pouvons déduire de la Réforme. Esprit est en majeure partie
42 onformes à nos désirs. Examinons, choisissons les doctrines qui offusquent le moins nos convictions. J’en ai désigné deux. Je sai
43 st d’autant plus « bestial » en ses débuts que la doctrine libérale qu’il renverse était plus « angélique » dans ses prétentions
44 lique, qui dans des domaines divers, répandent la doctrine ON. Citons le Club de février, la ligue « Nous voulons ». Inspirés pa
45 testants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques », Le christianisme social, Paris, n° 6, juillet-août 1934
8 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
46 ernes, vienne maintenant qualifier d’ascétisme la doctrine de la mort au monde et à soi-même, bien plus, qu’il la déclare antich
47 t qui juge ? Nicodème aussi estimait qu’une telle doctrine est impensable, et ne peut être utilement intégrée à notre patrimoine
48 ait grief à Kierkegaard de n’avoir pas incarné sa doctrine . Mais quelle était son exigence ? Nos vérités nous justifient, parce
9 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
49 erai donc à renvoyer à la critique décisive de la doctrine de l’analogia entis que Karl Barth poursuit à travers toute son œuvre
10 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
50 proclamer la priorité du « plan d’action » sur la doctrine , on est sûr que cette gauche et cette droite travaillent en fait pour