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cs, les hommes de culture, chargés d’élaborer les
doctrines
de l’Église, qui servaient de règles aux hommes publics : princes, ma
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mes livres, tous centrés sur la définition d’une
doctrine
personnaliste dont la traduction politique est, à mes yeux, le fédéra
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entre la conception personnaliste de l’homme, la
doctrine
, ou pour mieux dire, l’attitude fédéraliste, et la nécessité d’une un
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professer un cours sur le parallélisme entre les
doctrines
jacobines et hitlériennes, cours qui provoqua des mouvements divers p
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pour la fédération des Six. Il est conforme à la
doctrine
et surtout à la pratique fédéraliste de commencer par des petites réa
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ement il croira retrouver « l’engagement » que sa
doctrine
prônait, mais rendait par ailleurs impraticable — et dans le fait imp
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affilier à une telle école de pensée, d’art ou de
doctrine
politique, proche ou lointaine dans le temps ou l’espace, selon ses g
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et nous donnant le ridicule de vouloir vivre ces
doctrines
. Inquiétude et ferveur étaient les mots de l’époque. Âge d’or de la L
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issent parfois, plus ou moins consciemment, à des
doctrines
naturalistes et même matérialistes avant la lettre. Le « qui veut fai
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it reproché d’avoir fait trop d’hypothèses sur la
doctrine
de cette hérésie. En effet. Quand parut mon livre, on ignorait encore
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ignorait encore beaucoup trop de choses sur cette
doctrine
. J’avoue que j’en avais été réduit à un grand nombre d’hypothèses. Ma