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e, il y a lieu et ordre d’attester la scandaleuse
doctrine
du « salut de grâce et bonté pure », du salut par la foi, par l’aband
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e sommes pas des guérisseurs, mais des malades
Doctrine
désespérante, dites-vous. Oui, et plus encore que vous ne l’imaginez
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attendre de nous ou de qui que ce soit un remède.
Doctrine
désespérante ? Oui, pour ceux qui cherchent des espoirs à bon compte,
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on même de positif est bouleversée. Critiquer les
doctrines
qui prétendent résoudre humainement les conflits essentiels ; rejeter
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e et de la Fin, on supposerait par là même que la
doctrine
de l’acte rend un compte suffisant de l’ensemble du monde. Ce serait
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iens que nous pouvons porter sur nos actions, nos
doctrines
et notre « vie religieuse » ? Il y a la mort, et notre acceptation de
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ans l’invective prophétique ou dans la joie de la
doctrine
du salut. Songez à ces pasteurs qui, chaque printemps, saisissent le
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de notre point de vue. Mais là encore la funeste
doctrine
de l’analogia entis empêche l’auteur de conclure dans le sens paulini
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t on voit des pasteurs prêcher l’équivalent de la
doctrine
du salut par les œuvres, mais encore on voit ces mêmes pasteurs lire
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elque peu immunisé les fidèles contre les fausses
doctrines
modernistes. Malgré ce que certains leur ont prêché16, il se trouve e
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ous demanderons le simple effort de confronter la
doctrine
chrétienne telle que les bons docteurs de la Réforme nous l’enseignen
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e d’idées, de sentiments, d’habitudes pieuses, de
doctrines
plus ou moins autorisées, de préjugés, que tout fidèle porte en soi.
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angéliques. Ce qui s’oppose en réalité, c’est une
doctrine
du salut par la foi au sein d’une Église obéissant à la Révélation, e
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in d’une Église obéissant à la Révélation, et une
doctrine
du salut par l’Église, par une Église qui prend barre sur l’Écriture.
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ors de la condamnation des jansénistes.) Puis les
doctrines
des théologiens, et surtout de Thomas d’Aquin (Encycl. de Benoît XV,