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ênantes et dont on ne sait trop que faire, ou des
doctrines
dont ils négligent de nous dire s’ils les ont essayées sur le vif, da
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ofessent depuis longtemps en toute conscience une
doctrine
analogue. Il est normal que les hommes sans culture se trompent sur l
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re les réalités humaines et la terminologie et la
doctrine
politiques. Les pages qu’on va lire, nourries d’observations précises
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dans d’autres bouches. On y faisait surtout de la
doctrine
. On s’attachait à définir cette conception fondamentale de l’homme qu
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ssait de s’engager, on s’appliquait à tirer de la
doctrine
ses conséquences politiques et sociales, et c’est ainsi que l’on abou
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s’étonnera de la part que je viens de faire à la
doctrine
personnaliste dans la genèse de nos mouvements. Il est vrai que beauc
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camps et dans les maquis ne devaient rien à cette
doctrine
. Mais il est non moins vrai que les grands thèmes et le vocabulaire p
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fondamentaux qui les sous-tendent et les grandes
doctrines
de l’homme et de la société qui se sont dégagées peu à peu de ce comp
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grandes hérésies se sont définies à partir de la
doctrine
trinitaire. Après vingt siècles de combinaisons et d’analyse, Athènes
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de et leurs alliés. Le communisme, comme idéal et
doctrine
révolutionnaire, n’a guère touché que les milieux d’étudiants et les
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et de toute religion spontanée, luthérien par sa
doctrine
de la grâce mais aussi du péché radical détruisant toute « analogie d
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ceci : « Fédéralisme : s. m. Néologisme. Système,
doctrine
du gouvernement fédératif. » Ce qui ne nous apprend rien, d’autant qu