1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 Ce n’est pas à dire que l’humanisme n’ait pas ses doctrines , et même une expression politique cohérente. On a cité dans les Débat
2 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
2 angile, ou bien de faire triompher telle ou telle doctrine sociale adoptée par opportunisme ? À supposer même qu’une église parv
3 ser même qu’une église parvienne à construire une doctrine , sociale, morale, économique, qui puisse s’imposer au grand nombre sa
4 le message de l’apôtre Paul, idée centrale de la doctrine de Calvin. Ordonner toutes choses, et d’abord la cité, à l’exercice l
3 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
5 ment de la culture, elle doit être fondée sur une doctrine ferme, sur une théologie qui soit en même temps rigoureuse et vitale
6 u du xxe siècle, par exemple, pouvait croire aux doctrines officielles de sa confession et en même temps admirer Wagner, Whitman
7 si la culture perd contact avec l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église perd ses moyens les plus efficaces d’agir sur
8 nt agir et inspirer si elles sont fondées sur une doctrine ferme et complète. Elles auront autorité dans la mesure où elles inte
9 présuppose l’union dans la diversité. Toutes les doctrines unitariennes, cherchant à établir une homogénéité mécanique et rigide
10 considèrent comme dangereuse et scandaleuse. Ces doctrines sont par là incompatibles avec l’ordre chrétien, qui implique l’union
11 es conséquences sociales de la vocation 1) Une doctrine chrétienne, centrée sur l’idée de la vocation des individus, mettra t
12 u indépendamment des devoirs de sa charge. 2) Une doctrine chrétienne qui prend au sérieux le fait de la vocation divine d’un ho
13 mplir sa vocation. Elles le feront au nom de leur doctrine , et avec une grande précision. Elles ne le feront pas au nom de conce
14 tés » dans les conditions de fonctionnement d’une doctrine chrétienne de la vocation. (Être libre à l’abri de la nécessité, ne s
15 nement, dans chaque matière, y soit dominé par la doctrine de l’Église en question, comme c’est le cas dans les instituts cathol
16 et l’Église comme telle — l’Église comme corps de doctrine et comme communauté. Sur ce plan tout reste à créer. Et quelque chose
4 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
17 isant la théorie de leur faiblesse, formulent des doctrines nihilistes. Devant cette démission de la pensée et de la morale, l’Ét
18 s, les Églises ne trouvent plus dans le monde des doctrines hostiles, mais un vide doctrinal sans précédent. Ce vide est un appel
5 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
19 ance à un grand art (le puritanisme à Milton, les doctrines jésuites au baroque), et de « bonnes » théologies condamner l’art (ju