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l’est-elle pas. 1. Je ne suis pas pacifiste par
doctrine
. Mais pourquoi dire que la guerre est « morale » ou qu’elle est « jus
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ictatures. Et c’est ainsi que la séparation de la
doctrine
et de l’action proclamée par toute la pensée bourgeoise aboutit à la
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de partis, de faisceaux et de fronts, opposer des
doctrines
, ce n’est plus faire de la doctrine, mais bien, et quoi qu’on veuille
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opposer des doctrines, ce n’est plus faire de la
doctrine
, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu commun. C’est condamn
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près coup des passions collectives sur quoi nulle
doctrine
ne peut mordre. Ou pis encore, c’est vouloir les combattre sur un pla
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our qui se borne à considérer notre époque et les
doctrines
infiniment contradictoires qui s’affrontent au milieu du désordre. Il
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ui, et plus grand que jamais. Désarroi ? Non. Les
doctrines
sont contradictoires ? Les évaluations morales sont devenues presque
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et aboutît à une espèce d’abdication logique des
doctrines
libérales. Laissons aux communistes le soin de s’en réjouir. Si maint
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sité vertu. Mais c’était aussi introduire dans la
doctrine
de la Révolution un primat du déterminisme, dont je dirai, sans plus
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d’elle, tout en acceptant d’autres parties de la
doctrine
. Car toute la force de propagande du marxisme-léninisme réside dans l
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arx ? On y trouve tout ce que l’on veut, sauf une
doctrine
marxiste cohérente. Force nous est donc de partir du marxisme « moyen
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talisme sont liés ; 2° que le capitalisme est une
doctrine
matérialiste à sa façon, — les marxistes ont intérêt à revendiquer à
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ain optimisme évolutionniste, tout un ensemble de
doctrines
qui trouvent leur lieu commun dans la doctrine de l’immanence. Au fon
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e doctrines qui trouvent leur lieu commun dans la
doctrine
de l’immanence. Au fond du débat précédence ou primauté, nous retrouv
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semblablement, que s’il n’y a pas à la base d’une
doctrine
politique un principe d’actualité, nulle « période de transition » ne
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ondamentales du collectivisme, le succès de cette
doctrine
ne préparera nullement un terrain plus favorable à l’épanouissement f
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us, parmi nous, de théoriciens du désordre. Toute
doctrine
sociale, aujourd’hui, fût-elle même la plus subversive, est la doctri
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urd’hui, fût-elle même la plus subversive, est la
doctrine
d’un certain ordre terrestre, d’un certain aménagement des activités,
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mesure (ou hiérarchie) sociale imposée. C’est une
doctrine
pessimiste, une politique de la camisole de force. Tel qu’il devrait
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ue du devenir et de l’évolution fatale. C’est une
doctrine
optimiste, dont la mesure n’est pas dans le présent injuste, mais dan
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connaît mieux. Comme le marxiste, il sait que sa
doctrine
ne doit pas se borner à interpréter le monde, mais doit plutôt le tra
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st d’autant plus « bestial » en ses débuts que la
doctrine
libérale qu’il renverse était plus « angélique » dans ses prétentions
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iolence. L’idéalisme et la révolution, toutes les
doctrines
qui veulent éduquer l’homme, ratent. Cet échec juge toute tentative t
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tendons-nous de nos églises qu’elles énoncent une
doctrine
sociale opposée aux doctrines régnantes. Nous n’attendons rien d’aucu
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u’elles énoncent une doctrine sociale opposée aux
doctrines
régnantes. Nous n’attendons rien d’aucun acte délibéré, pesé et calcu
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uvée de rejeter le Christ : feindre d’accepter la
doctrine
de ses disciples, se faire un avoir de la Pauvreté évangélique, et bi
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Ce n’est pas à dire que l’humanisme n’ait pas ses
doctrines
, et même une expression politique cohérente. Qu’il me suffise de rapp
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ice aux desseins que poursuivent l’une et l’autre
doctrines
, à leurs suppositions fondamentales. Pour rendre pleinement justice à
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ndamentales. Pour rendre pleinement justice à une
doctrine
totale, qui englobe non seulement les modes de vie mais encore les bu
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es buts de la vie humaine, il faut croire à cette
doctrine
. Y croire, c’est-à-dire s’y engager personnellement tout entier et sa
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’ils apparaissent. Tenons-nous-en strictement aux
doctrines
et aux inspirations fondamentales. Non pas que, sur ce terrain, les g
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s littéralement qu’il n’y a aucun point commun de
doctrine
entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils parleront t
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et en Italie, on ne trouve guère, sur le plan des
doctrines
, qu’une seule revendication commune : l’étatisme. Tout ce qui n’est p
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Où faut-il se tourner maintenant ? Où chercher la
doctrine
efficace qui permette de déceler et de combattre à sa naissance le pé
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nce sont claires. Un protestant resté fidèle à la
doctrine
de la Réforme55 sait que le premier commandement, c’est de servir Die
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n nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni
doctrines
, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce
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lui de la Troisième Internationale. Toutefois, la
doctrine
marxiste, en dehors de laquelle s’est constitué ce nouveau front, for
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nt verbale, électorale ; elle n’est pas dans leur
doctrine
constructive. Elle se fonde sur des apparences, voire sur des faits a
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iciens marxistes, mais niée en sous-main par leur
doctrine
, est de leur part une duperie manifeste. Je les entends menacer le bo
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ois des bourgeois, et de la vérité humaine de nos
doctrines
antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de pain. Ceux qui ne promett
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XIII.Triomphe de la Personne (Aphorismes)
Doctrines
et passions Je parle, dans ce livre, de philosophie politique et d
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le, dans ce livre, de philosophie politique et de
doctrines
sociales ; cela paraîtra sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie
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, Sorel ou Maurras, voire Guesde et Jaurès. Leurs
doctrines
sont passées dans les mœurs, c’est pourquoi vous pensez qu’elles n’ét
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au même titre que les nôtres. Nous revenons à ces
doctrines
pour les combattre ou pour les rénover. Ce que des hommes ont fait, d
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t pas une aventure. Elle est la réalisation d’une
doctrine
de l’homme véritable. La révolution n’est pas un mythe, mais une acti
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la nature de la personne en acte. Pouvoir de la
doctrine
Nous disons que la force, l’autorité valable et le pouvoir sont l’
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e « pouvoir de la personne » par « solidité de la
doctrine
». Je m’aiderai ici d’une image autorisée, me semble-t-il, par toute
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tres termes, c’est au groupement le plus ferme en
doctrine
, si petit qu’il soit, que revient la décision finale. Peu importe que
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remière arme d’une révolution véritable, c’est la
doctrine
de l’ordre qu’elle entend établir. Doctrine et tactique sont absolume
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st la doctrine de l’ordre qu’elle entend établir.
Doctrine
et tactique sont absolument inséparables dans la Révolution. Et si l’
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rées. Cette tactique, infidèle au but final de la
doctrine
de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques
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s » à leur tour se sont révélés si urgents que la
doctrine
, toujours ajournée sous d’excellents prétextes, a fini par perdre tou
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peut être rien d’autre que l’actualisation de sa
doctrine
. Avant de proposer quelques maximes tactiques déduites de notre posit
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ale — indépendante du contenu particulier — d’une
doctrine
révolutionnaire. 1° La doctrine situe les faits au fur et à mesure de
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rticulier — d’une doctrine révolutionnaire. 1° La
doctrine
situe les faits au fur et à mesure de leur apparition. Elle constitue
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lle d’un regard précis, d’une visée ferme ; 2° La
doctrine
d’un groupe révolutionnaire n’est pas seulement théorique, elle est a
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prépare sans cesse aux actes nécessaires ; 3° La
doctrine
est enseignante par nature, comme la révolution qui est toujours et t
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nce. C’est là, dit-on, l’aspect primaire de toute
doctrine
militante. Qu’importe, si les buts de la révolution sont assez hauts
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courtes, et trop souvent mal exprimées. C’est la
doctrine
de la révolution qui les rassemble, les oriente et leur donne à la fo
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dre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la
doctrine
qui crée, avec des révoltes confuses, une révolution véritable. La do
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s révoltes confuses, une révolution véritable. La
doctrine
est seule créatrice d’une liberté que l’homme des rues reste incapabl
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révolution. À cet égard, on peut bien dire que la
doctrine
est instrument de paix, au moins autant que de rénovation : à conditi
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; de part et d’autre, aucun pouvoir réel, aucune
doctrine
cohérente et lucide. Les uns ignorent ce qu’ils veulent attaquer, les
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cussion honnête sur les réformes nécessaires. Les
doctrines
économiques et sociales développées par Esprit et surtout par L’Or
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ns, si seulement elles s’étaient données pour des
doctrines
de droite ou de gauche. Mais c’est précisément ce genre d’adhésion se
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ppement normal, les cadres de l’ordre ancien. Une
doctrine
rigoureuse, qui s’exprime directement dans une tactique souple, dont
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ue du travail. Cette critique se développe en une
doctrine
économique, dont on trouvera la première synthèse dans l’ouvrage impo
68
n la Troisième Force, mouvement d’action né de la
doctrine
d’ Esprit , mais qui n’a pas tardé à dévier vers le Front commun de M
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lique, qui dans des domaines divers, répandent la
doctrine
ON, tel que le Club de février, la ligue Nous voulons. Inspirés par
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n. Nous touchons ici au caractère essentiel de la
doctrine
de L’Ordre nouveau : les revendications politiques qu’elle comporte
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notre violence, c’est la fameuse séparation de la
doctrine
et de l’action — fondement de l’esprit bourgeois sur le plan éthique
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ables de toute « réalisation pratique ». Entre la
doctrine
et l’action, nous n’admettons aucune « période de transition ». À quo
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nsister surtout sur la nouveauté d’un chapitre de
doctrine
tel que « Esprit et Révolution », et sur l’Esquisse d’une théorie gén