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donc un phénomène relativement récent en tant que
doctrine
, et qui ne se manifeste en tant que politique qu’au dernier tiers de
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utralité forcée était encore très loin d’être une
doctrine
. Certes, en 1689, des membres de la Diète pouvaient décrire la neutra
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t donc d’un phénomène moderne dans l’histoire des
doctrines
politiques. Repassons rapidement, dans cette vue générale, les étapes
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de conscience toute nouvelle du fédéralisme comme
doctrine
. La chose était sans doute ancienne, le concept apparaît nouveau. Ce
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littérature consacrée au fédéralisme en tant que
doctrine
politique et attitude philosophique. Des historiens comme Karl Meyer,
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ts-Unis et en Suisse, se déclare finalement comme
doctrine
politique, comportant une morale sociale et une méthode d’aménagement
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ique séculaire, restée longtemps sans nom et sans
doctrine
trop clairement formulée, constitue le véritable apport de la Suisse
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ve ceci : Fédéralisme s.m. Néologisme. Système,
doctrine
du gouvernement fédératif. — « Le fédéralisme était une des formes po
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a race, la confession, la langue, parfois même la
doctrine
du parti au pouvoir, coïncident dans ces pays avec les limites du ter
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le domaine des idées générales et des conflits de
doctrine
: ils préfèrent parler chiffres, fixation des prix, subventions local
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d’autres nations modernes par des oppositions de
doctrine
irréductibles, reste beaucoup plus grand entre les Suisses qu’ils ne
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’expressions plastiques ou codes, de méthodes, de
doctrines
, d’écoles, etc. — et il faut quelque chose qui lie toutes ces œuvres
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et de toute religion spontanée, luthérien par sa
doctrine
de la grâce mais aussi du péché radical détruisant toute « analogie d
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ge que possible. Elles ne sont pas soumises à une
doctrine
d’État, mais reflètent le genius loci et les diversités linguistiques
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aux exigences de l’efficacité, non à celles d’une
doctrine
politique. Les avantages du régime cantonal sont évidents. Le nombre
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s. Il semble que dès le iiie siècle, la nouvelle
doctrine
s’introduisit dans la partie occidentale du pays, apportée par des ar
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aut de la chaire, qu’il se propose d’expliquer la
doctrine
chrétienne en se basant sur les documents originaux de la Révélation,
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œuvres du réformateur de Zurich, ni même que ses
doctrines
soient enseignées. Mais il a proposé aux Suisses la forme de religion
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tut minoritaire de leur confession. Il existe une
doctrine
catholique spécifiquement suisse de l’État et du fédéralisme, illustr
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des fausses disciplines totalitaires, et sur une
doctrine
de l’État qui prévient l’extension illimitée de ses pouvoirs et sauve
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d’antagonismes profonds et essentiels quant à la
doctrine
de l’État, ni d’écoles ou de fractions irréductibles, comme celles do
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tat français dit d’une œuvre, d’un produit, d’une
doctrine
: « Voilà qui est bien français ! » on entend : Voilà qui est excelle
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empêcher l’éclatement de la Suisse en 1914, enfin
doctrine
d’État ces derniers temps, et là-dessus l’on peut et l’on doit discut
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rop clair que cette formule totalitaire mais sans
doctrine
millénariste et sans passion ne sauverait le corps qu’au prix de l’âm
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elles qu’elles étaient vécues en Suisse mais sans
doctrine
. C’est en essayant d’expliquer leur agencement qui défie toute logiqu