1 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
1 nullement prouvé que l’œuvre d’un compositeur non dodécaphonique « est inutile… et se place en deçà des nécessités de son époque »7. L
2 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
2 en peinture, n’est pas « française », et le style dodécaphonique ou sériel n’est pas plus « autrichien » que le ballet russe ne fut « 
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 en peinture, n’est pas « française », et le style dodécaphonique ou sériel n’est pas plus « autrichien » que le ballet russe ne fut « 
4 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
4 nullement prouvé que l’œuvre d’un compositeur non dodécaphonique « est inutile… et se place en deçà des nécessités de son époque »28.
5 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
5 a son autre père, Bertrand Russell ; — la musique dodécaphonique et sérielle, avec Schönberg, Webern et Alban Berg, qui influencera St
6 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
6 , Hilbert, Carnap ; la grande école de la musique dodécaphonique avec Schönberg et Berg ; la littérature, qui s’est développée autour
7 1982, Tapuscrits divers (1980-1985). De l’unité de culture à l’union fédérale de l’Europe (18 octobre 1982)
7 son second père, Bertrand Russell ; — la musique dodécaphonique et sérielle, avec Schönberg, Webern et Alban Berg, qui influencera St