1 ationalisme et l’esprit partisan eussent échoué à donner à l’homme des masses une règle de vie, une discipline d’action et de

2 lle, survivance d’une morale qui ne sait plus lui donner des raisons positives de vivre. L’homme qui se sent vaguement coupabl

3 esque jamais. Il ne se l’avoue pas à lui-même. Il donne toutes sortes de raisons, pas très plausibles, pour expliquer la supé

4 qui pourrait survenir avant que ce traitement ait donné ses effets. Et c’est pourquoi ceux qui nous disent : « Commençons par

5 r, par son salaire, par son patron, a le droit de donner son congé et de chercher du travail ailleurs. Ce droit lui serait ôté

6 , une violence aussi grave que les coups de fouet donnés par le maître à l’esclave. En l’absence de moyens légaux de défense c

7 r, alors qu’il s’agirait bien concrètement de lui donner nourriture et logis ? Et je parlais des « pâles libertés » définies p

8 it critique. On nous dit qu’il se perd et l’on en donne pour preuve le succès des publicités, propagandes et mystiques politi