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risqueraient d’égarer certains lecteurs si je ne
donnais
ici la clef de ma composition. Le premier livre expose le contenu cac
2
er avec tant d’auteurs à succès. Aussi me suis-je
donné
quelques difficultés. Je n’ai pas voulu flatter ni déprécier ce que S
3
re convaincu quelques lectrices si je n’avais pas
donné
des preuves. Et je me serais acquis l’estime des spécialistes si je n
4
e j’ai cru pouvoir dégager, je suis tenté de leur
donner
raison sur plus d’un point : j’avais à déblayer le terrain, à marquer
5
l’homme et de la femme dans un groupe historique
donné
: l’élite sociale, la société courtoise et pénétrée de chevalerie du
6
a preuve est d’ailleurs immédiate. Elle nous sera
donnée
ici même par une certaine répugnance du lecteur à envisager mon proje
7
ns doute exacte, si l’on se borne à considérer la
donnée
sèche du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et « prosaïquement
8
pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leur
donne
à boire. Mais elle leur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux
9
e plus envoûtant des poèmes, on s’aperçoit que sa
donnée
ni son progrès ne sont dépourvus d’équivoque. J’ai passé quantité d’é
10
ers ni un mot, dans les différentes versions, qui
donne
la raison de cet acte5. Pourquoi Tristan rend-il la reine à Marc, et
11
e par une ruse improvisée in extremis, et qui est
donnée
comme trompant Dieu lui-même, puisque le miracle s’opère6 ! Enfin, ce
12
iècle avec une étonnante rapidité ? En ceci qu’il
donne
à la femme le rôle qui revenait précédemment au suzerain. Le chevalie
13
vraisemblance dépend, pour un ouvrage romanesque
donné
, de la nature des passions qu’il veut flatter. C’est dire que l’on ac
14
plus poignante définition qu’un poète ait jamais
donnée
de la passion ! À lui seul, ce vers exprime tout, et avec une force d
15
omme il s’en joue à plaisir ! Sans le mari, je ne
donne
pas plus de trois ans à l’amour de Tristan et Iseut. Et en effet, la
16
expression saute aux yeux. La magie persuade sans
donner
de raisons, voire dans la mesure où elle n’en donne point. Et la rhét
17
ner de raisons, voire dans la mesure où elle n’en
donne
point. Et la rhétorique chevaleresque, comme d’ailleurs toute rhétori
18
d mon père m’engendra et mourut, quand ma mère me
donna
le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs oreill
19
ut ce qui palpite et respire, ô vents, je vous le
donne
en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie qui les pousse, p
20
ernelle nuit. Là-bas, une science unique nous est
donnée
: le divin, l’éternel, l’originel oubli… Oh ! si je pouvais le dire !
21
e mythe, beaucoup penseront que voilà qui suffit…
Donnons
une page à ce genre d’objections. ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au
22
confesseurs. Ils n’écrivaient pas de livres, mais
donnaient
un enseignement oral, en vers gnomiques, à des élèves qu’ils gardaien
23
r son refus de l’Incarnation, précisément ! Je ne
donnerai
pour l’instant qu’un seul exemple de ce processus si typiquement occi
24
tendaient donc à matérialiser l’élan divin, à lui
donner
un support corporel. Mais il y a plus, nous le savons depuis Freud :
25
e on fait à un suzerain. En gage d’amour, la dame
donnait
à son paladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se lever, et lu
26
d’énormité ou de fantaisie tout ce qui menace de
donner
un sens au phénomène qu’ils passent leur vie à étudier. Il est vrai q
27
es dogmes de l’« Église d’Amour », nom que l’on a
donné
parfois à l’hérésie aussi dite « albigeoise »32. L’origine permanente
28
ntum devient le rite majeur de leur Église. Il se
donnait
, lors des cérémonies d’initiation, aux frères qui acceptaient de reno
29
fois marié et fidèle à sa dame ? » voilà qui nous
donne
à penser, si l’on songe à tous les troubadours qui devaient subir un
30
s merci : Je ne désire pas que Dieu m’aide ni me
donne
joie ou bonheur, sinon par vous ! S’il ne s’agit que de figures de r
31
figures de rhétorique, quel est l’esprit qui leur
donna
naissance ? Et quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa chans
32
chez les cathares le consolamentum, généralement
donné
à l’approche de la mort) ; comment il se voit de la sorte « ordonné »
33
dernier quart par amour pour la Mère céleste qui
donnait
à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, i
34
pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le
donnera
à son fils. Il prend sa boisson en cinq traits pour les cinq plaies d
35
yant dit : « Messire, répond la dame, vous m’avez
donné
à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre !
36
ans la réalité et que rien n’explique ». Exemples
donnés
: « Je suis en doute au sujet d’une chose et mon cœur est dans l’ango
37
lez faire leur conquête, dit-il, soyez brutaux, «
donnez
-leur des coups de poing sur le nez » (est-ce assez « cru » ?), forcez
38
les erreurs de la passion — au sens précis que je
donne
à ce mot — sont d’origine religieuse et mystique, il est certain qu’e
39
l’on distingue mal comment, d’une science qui se
donnait
pour objet l’analyse et la cure des névroses, aurait pu naître une rh
40
tres de quelques traités mystiques de cette école
donnent
une idée : le Familier des Amants, le Roman des Sept Beautés… Il y a
41
) La salutation est le salut que l’initié voulait
donner
au Sage, mais que celui-ci, prévenant, donne le premier (Sohrawardi :
42
ait donner au Sage, mais que celui-ci, prévenant,
donne
le premier (Sohrawardi : le Bruissement de l’aile de Gabriel), c’est
43
purs « rhétoriqueurs »74. D’Amour, je sais qu’il
donne
aisément grande joie à celui qui observe ses lois, dit le premier des
44
t Daude de Prades, qui cependant ne craint pas de
donner
des précisions sur les gestes érotiques que l’on peut se permettre av
45
e parfois le dernier troubadour, Guiraut Riquier,
donnera
de ces vers le commentaire suivant : « Les cinq portes sont Désir, P
46
ellement résolue : c’est bien le Midi roman qui a
donné
son style et sa doctrine de l’amour aux « romanciers » du cycle de la
47
ues que puissent paraître les interprétations que
donne
l’auteur lui-même, après chaque épisode. Il est une de ces interpréta
48
e mari les poursuit. Dans Bailé et Aillin, ils se
donnent
rendez-vous en un lieu désert, où la mort les précède, empêchant leur
49
Prière cathare publiée par Döllinger. Exemple : «
Donne
-moi de pouvoir aimer ceux que tu aimes » (Cardenal) et « Donne-nous d
50
pouvoir aimer ceux que tu aimes » (Cardenal) et «
Donne
-nous d’aimer ceux que Tu aimes » (Prière). Mais il faut également rel
51
rapprocher ceci du fait que le chevalier courtois
donnait
souvent à sa Dame le titre de seigneur au masculin : mi dons (mi domi
52
l’amour courtois est clair. Et non moins le sens
donné
à mercy, que plusieurs auteurs assimilent pour leur part à la Grâce,
53
n autre passage, les chevaliers ayant communié se
donnent
les uns aux autres le baiser de paix, selon le rite oriental, que les
54
ivre à imprimer. D’autres cultivent ce poison qui
donne
des visions pittoresques. Presque tous publient le secret… Tristan, l
55
iie siècle, la conscience moderne a cru voir une
donnée
première. Elle a cru pouvoir « expliquer » le plus élevé par le plus
56
’ailleurs rarement purs dans telle ou telle œuvre
donnée
. Même chez les représentants les plus typiques de l’une et de l’autre
57
trouve exprimé ? Quelle que soit la réponse qu’on
donnera
, une chose demeure certaine : c’est que nous sommes en présence de de
58
erne, par exemple, victime des réflexes que lui a
donnés
la science matérialiste, tranche toujours le débat au bénéfice de ce
59
es pour des raisons qu’elles seraient capables de
donner
? Ont-elles donc recherché si, chronologiquement, le sens « matériel
60
de cette dialectique permanente pour en faire la
donnée
première. 7.Libération finale des mystiques Cette décision tout
61
mystique orthodoxe de l’hérétique. C’est lui qui
donne
un sens tout différent au mot amour dans les deux cas. Les hérétiques
62
dont on peut démontrer, historiquement, qu’elle a
donné
sa langue à la passion. Si la littérature peut se vanter d’avoir agi
63
eux roses Le meilleur point de départ nous est
donné
par le Roman de la Rose, écrit entre les années 1237 et 1280 environ.
64
eurs, n’arrête pas son progrès. L’Église d’Amour
donnera
naissance à d’innombrables sectes plus ou moins secrètes, plus ou moi
65
». Double mouvement dont le Roman de la Rose nous
donne
l’illustre témoignage. La Rose de Guillaume de Lorris — dans la premi
66
sse l’orgueil de celui qu’elle salue [auquel elle
donne
son salut] et, s’il n’est déjà de notre foi, l’y amène. Faut-il pens
67
y eut cette fameuse ascension au Ventoux, qui lui
donna
beaucoup à réfléchir. Il y eut surtout, en 1348, la grande peste noir
68
laisir que l’usage en moi a fait si fort qu’il me
donne
l’audace de négocier avec la mort ! La lucidité même d’un tel cri, o
69
chrétienne —, c’est la secrète volonté qui devait
donner
naissance au mythe. Mais la confusion de la foi, « qui à Dieu seul es
70
n d’une jouissance infinie, tout cela ne fait que
donner
satisfaction au besoin humain de substituer à la réalité le rêve d’un
71
bergère, le volage, la coquette, le hardi, etc. —
donne
à la dialectique des sentiments sa meilleure garantie de précision, e
72
p » et il veut faire en sorte que sa maîtresse se
donne
à son ami Cléandre. D’où l’on conclut généralement que Corneille est
73
e naissance à qui nous ne pouvons résister… On ne
donne
point ce qu’on ne saurait nous refuser. » Voici qui est bel et bon. M
74
semble ne commencer à l’aimer que quand il lui a
donné
sujet de le haïr. » L’aveu est complet cette fois-ci. Mais dans le pl
75
moins faut-il bien reconnaître que cette croyance
donne
au drame et aux épreuves des amants une justification grandiose. S’il
76
s d’indignation que de pitié. J’ai cru lui devoir
donner
quelque faiblesse qui le rendrait un peu coupable envers son père, sa
77
taphores pour les bourgeois sentimentaux, et cela
donne
finalement tout un verbiage sur la divinité des impressions champêtre
78
sur la femme au xviiie siècle : « Au lieu de lui
donner
les satisfactions de l’amour sensuel et de la fixer dans la volupté,
79
a réaction cynique contre le mythe. Nous en avons
donné
plus d’un exemple. Le xviiie est trop poli pour admettre la gauloise
80
n, dans la doctrine manichéenne : c’est lui qui a
donné
sa figure au Tenorio de Molina, et qui lui a imprimé pour toujours ce
81
le faut ces faveurs enivrantes pour lesquelles je
donnerais
mille vies, mais rends-moi tout ce qui n’était point elles, et les ef
82
[de sa fiancée] la pensée m’est venue que ma mort
donnerait
à l’humanité un exemple de fidélité éternelle, et qu’elle instaurerai
83
conclue même pour la mort est un mariage qui nous
donne
une compagne pour la Nuit. C’est dans la mort que l’amour est le plus
84
ne » (Nachtseite) de l’existence. Fichte lui-même
donne
la définition de l’amour-par-essence-impossible, le vrai amour qui re
85
iage) l’ennuie, et peut-être aussi qu’elle ne lui
donne
que des idées communes. » Et plus loin : « Il y a peu de peines moral
86
la forme de l’opéra. Si Mozart et Wagner nous ont
donné
les chefs-d’œuvre du drame musical, c’est en vertu de l’affinité orig
87
nt au philtre, alibi de la responsabilité, on lui
donne
le nom romantique de « fatalité de la passion ». Et les tenants du co
88
de l’imagination. Toutefois, l’on s’efforcera de
donner
à cette fin une atmosphère « poétique » qui dissimule le passage à la
89
e. » ⁂ Cette nouvelle mystique de la « Vie » a pu
donner
naissance à de belles œuvres littéraires. Mais je la retrouve, étrang
90
éenne, même orthodoxe, et par une sorte d’ironie,
donner
sa rhétorique passionnelle au mysticisme des plus grands saints. Lors
91
Voir le Journal de Novalis, et le portrait qu’il
donne
de sa fiancée perdue, Sophie von Kühn, morte à 16 ans. Il note « ses
92
possession est un embrassement. Sa tuerie est de
donner
la vie pour l’aimé. » ⁂ On a vu que la rhétorique courtoise traduit,
93
a chevalerie, loi de l’amour et de la guerre «
Donner
un style à l’amour », telle est, selon J. Huizinga, l’aspiration supr
94
de la guerre. Exemple unique d’un ars amandi, qui
donne
naissance à un ars bellandi. Ce n’est pas seulement dans le détail de
95
de butin, droit d’attaque — fidélité à la parole
donnée
sont régis par des règles semblables à celles qui gouvernent le tourn
96
arraché le gant. — Mais à moi, dit l’autre, il a
donné
cette même main avec sa parole. » Quant aux idées politiques inspirée
97
e jouent les tournois. Là, les fureurs du sang se
donnent
libre cours mais sous l’égide et dans les cadres symboliques d’une cé
98
tre présentés sous forme de lecture, mais surtout
donnés
en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dra
99
tit nombre de mouvements automatiques, destinés à
donner
la mort à grande distance, sans colère ni pitié. 6.La guerre class
100
lutte. La chevalerie représentait un effort pour
donner
un style à l’instinct. La guerre classique est un effort pour conserv
101
sources de la nation ; parce qu’elles allaient se
donner
comme but non un intérêt dynastique, mais la conquête ou la propagati
102
les foules réagissent au dictateur, dans un pays
donné
, de la même manière que la femme, dans ce pays, réagit aux sollicitat
103
os mœurs, le second décrivant une attitude que je
donne
bien moins pour la réponse décisive, que pour mon choix particulier.
104
des expressions typiques de l’amour à une époque
donnée
— aussi irréelle et aussi signifiante dans le laid que dans le beau,
105
emme qu’en l’imaginant sa maîtresse. (Balzac déjà
donne
la recette, dans sa Physiologie du mariage.) Une innombrable et écœur
106
leur être propre et du présent tel qu’il leur est
donné
, incapables d’accepter l’autre tel qu’il est, parce qu’il faudrait to
107
t de constater que presque tous ces sages auteurs
donnent
quelques lignes à la louange de la passion, ou tout au moins affecten
108
nder sur une base raciste et militaire, devait se
donner
pour première tâche de surmonter cette crise de mœurs. On commença pa
109
sfert (dont je parlais au livre V) qui consiste à
donner
pour seul objet légitime et possible à la passion l’idée de nation sy
110
près de sept-mille ans qu’elles se succèdent, n’a
donné
à « l’amour » nommé romance 196 cette publicité quotidienne : par l’é
111
iger des tests ou des épreuves portant sur ce qui
donne
à toute alliance humaine ses meilleures chances de durer : buts et ry
112
incipe et le sens nous demeurent cachés, mais qui
donnera
peut-être aux historiens futurs de notre société occidentale, la clé
113
er ». Et je lui fais un plus large crédit ! Étant
donné
que les humains des deux sexes, pris un à un, sont généralement des c
114
a su louer le philistin et le romantique, et leur
donner
raison au point de leur faire honte d’avoir parfois douté d’eux-mêmes
115
que revêt objectivement un choix de cet ordre, on
donne
à croire que tout se ramène à une sagesse, à un savoir ; et non pas à
116
x caractérisent l’Europe par l’importance qu’elle
donne
aux forces passionnelles. Ils y voient l’héritage du christianisme et
117
é centrale, ou en dévie, compromet la fidélité et
donne
des chances nouvelles à la passion. C’est notre vie et notre mort. Et
118
ration de l’eau de la chaudière de Cerridwen, qui
donne
l’inspiration aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire élève l’
119
ale et féodale). Cette analogie avec Tristan nous
donne
un repère pour apprécier la transformation que les Béroul et les Thom
120
ourtois sur les auteurs du cycle breton. Voici la
donnée
: le duc Girard de Roussillon a été quérir une fiancée pour Charles l
121
nds pour garants et témoins que par cet anneau je
donne
à jamais mon amour au duc Girard. Je lui donne de mon oscle la fleur,
122
je donne à jamais mon amour au duc Girard. Je lui
donne
de mon oscle la fleur, parce que je l’aime plus que mon père et plus
123
nflit entre l’hommage dû au suzerain et l’hommage
donné
à la femme ; — d’un mariage de consolation du vassal (ici avec la sœu
124
t à passer pour vérité constante et irréfragable.
Donné
l’an 1174, le troisième des calendes de mai, indiction VII. 2. À rap
125
Jour, et le soir même je vais à l’Opéra, où l’on
donne
Tristan, cette revanche de la Nuit. Habet Acht ! Habet Acht ! Schon
126
cathare m’a intéressé en expliquant la direction
donnée
à mon expérience poétique. » (Cette dernière phrase suffit à m’assure
127
t pas là. Je prépare une entreprise qui risque de
donner
beaucoup de retentissement à votre travail. Comme elle ne se fera pas
128
ue les troubadours « attendaient que l’Amour leur
donnât
une valeur qui ne leur appartenait pas socialement, par droit de nais
129
t les plus représentatifs. Ce sont eux qui ont dû
donner
le ton, à commencer par Guillaume IX, qui était « le plus grand princ
130
ne erreur par phrase ». Les échantillons qu’il en
donne
sont des caricatures où l’erreur vient de lui. (Comment aurais-je dit
131
ux cités par Henry Corbin et la synthèse qu’il en
donne
se trouvent d’ailleurs corroborer pour l’essentiel une importante étu
132
me allemand. Oui, dans ce xiie siècle dont j’ai
donné
un tableau synoptique, moins détaillé quant au Midi mais un peu plus
133
istoire de Tristan et Iseut ». Aux exemples qu’il
donne
(Cercamon, Barbezieux, et le roman de Flamenca) on en ajouterait ving
134
roman de Flamenca) on en ajouterait vingt sans se
donner
trop de mal227. Mais jouons la difficulté, qui a nom Bernard de Venta
135
Freud dans ses poèmes, mais je sais bien qu’il se
donnait
lui-même pour freudien et condamnait Jung sommairement pour avoir dév
136
etting ». Mais déjà chez Guillaume IX, le joy est
donné
par l’Amour « à celui qui observe ses lois » ; et cette joie est dite
137
pérément courtisée par Bernard de Ventadour, elle
donnera
au monde anglo-normand et français, puis champenois, son fils Richard
138
Nouveauté inouïe et qui surpasse encore celle de
donner
à l’abbesse le pouvoir supérieur non seulement sur les religieuses (c
139
Dawoud, où il s’agit bien moins de savoir qui se
donne
pour champion de quoi, que de saisir l’homologie du phénomène avec ce
140
nnes : certains détails de l’instruction semblent
donner
matière à quelque doute, c’est-à-dire à renvoi indéfini. Si les Apôtr
141
n enquête sur les origines de l’amour : elle peut
donner
la clé de plus d’une tradition érotique ou sentimentale devenue réfle
142
et le Sud qui ne doivent rien à Wagner ? 228. Je
donne
de ces quatre vers la traduction de Davenson, op. cit., p. 92, dans s
143
u’il m’adressait le 3 août 1955, Roland-Manuel me
donnait
un précieux exemple de ces imitations : « Il est clair que les trouba
144
n, dew en arménien = démon. Mais le même mot dewa
donne
Zews, Zeus, Theos, Deus, en hindou, en grec et en latin. 245. Cette
145
ais où Sartre s’égare décidément, c’est lorsqu’il
donne
comme exemple de ce qu’il appelle transcendance « le désir sexuel lui