1 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
1 c’est lui qui nous contrôle, c’est lui qui, sans douleur , marque tant de « travaux » de son poinçon d’inefficacité67. Machines
2 — que doit s’adresser la pitié. La pensée sans douleur Cette sobriété méfiante et cette absence de pétulance intellectuel
3 invention, que l’on peut baptiser la pensée sans douleur et qui comblait si doucement la débilité morale du siècle. Elle en fi
4 rend son examen relativement aisé. La pensée sans douleur , en effet, est d’abord une pensée systématique. Cet adjectif évoque d
5 de joie secrète, ni jamais secouée de sursauts de douleur , puisqu’elle prend son gîte à l’abri des atteintes de la mort, mais a
6 eté sociale par décret des tyrans, la pensée sans douleur par des diplômes et des titres, la religion sans foi par le respect p