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ct de cet infini, plus puissant que la joie et la
douleur
. Dans le vertige de revenir toucher cet absolu, sensible à celui seul
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fureur dionysiaque où la joie de détruire devient
douleur
, et dans l’angoisse d’une puissance anéantie par son succès, que Niet
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agitées par l’Esprit submergent le psalmiste, la
douleur
l’a noyé, et son salut n’est plus que dans la mort par l’eau. L’amert
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ts, l’eau-mère. Et l’homme s’y noie et y meurt de
douleur
, il est noyé par l’amertume non par l’eau. C’est la saveur d’une vie