1 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
1 oit à la vérité de la Bible, il est impossible de douter un seul instant de la réalité objective du diable. D’ailleurs, la Bib
2 peut-être au monde qu’une seule chose pire que de douter du bien et du réel, et c’est de douter du pardon, une fois qu’on a tr
3 ire que de douter du bien et du réel, et c’est de douter du pardon, une fois qu’on a trahi le bien et le réel. Car douter du p
4 n, une fois qu’on a trahi le bien et le réel. Car douter du pardon nous replonge dans le mal, avec la sombre jouissance masoch
5 Le diable est cet Accusateur qui veut nous faire douter de notre pardon pour nous forcer à fuir dans les remèdes du pire. L’A
6 au premier de ses tours, qui était de nous faire douter de son existence même. 9. Le sophisme L’Ange déchu nous dit : j
7 ditionnelle et trop évidemment puérile, ils ne se doutent pas que le diable agit ailleurs, sans queue ni barbe, par leurs mains
8 orte malheur et qui leur veut du mal. Elles ne se doutent pas que le diable est sans aucun pouvoir sur nous ailleurs que dans n
9 ait qu’il n’y a personne derrière l’écran. » N’en doutons pas, c’est encore lui qui parle. Certes, le péché étant devenu notre
2 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
10 éveiller nos soupçons. Le xixe siècle, sans s’en douter , a remplacé la Providence par le progrès automatique. Devant les résu