1 rie qu’elles figurent souvent — ne doit pas faire douter de l’existence de la question. À plus forte raison, chez notre homme,

2 n mais qui l’a fait. Seul en face de lui-même, il douterait de son existence. Seul devant Dieu, il se voit condamné, questionné,

3 oire. À vrai dire, nous avons toutes raisons d’en douter , s’il est vrai que le doute est révolte, et qu’il faut pour se l’avou

4 esprit est drame, attaque et risque. Et l’on peut douter qu’ils y croient, ceux qui flétrissent le matérialisme au nom de bien

5 selon Kierkegaard : il sera toujours loisible de douter de leur authenticité, on ignore même leur date exacte, et pourtant il

6 ire des orthodoxies orgueilleuses, que Gide, n’en doutons pas, restera jusqu’au bout. 68. Cf. Journal (Pléiade), 26 janvier,

7 ssentiel au romantisme qu’il explique, à n’en pas douter , l’incapacité de la plupart des jeunes contemporains de Goethe à donn