1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 usement pervers que d’émotion, seront en droit de douter de la légitimité d’une interprétation si solennelle. Certes, du coup
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
2 recevrons notre grâce. Mais Nietzsche et Don Juan doutent de leur grâce. Les voici donc contraints de gagner dans le temps de l
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 de Mozart nous assurent que ses contemporains ne doutaient pas un instant que Dona Anna ait cédé à Don Juan, prenant (ou non) « 
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
4 l’Évangile, et cela jusque dans les années où il doutait de l’existence de Dieu. Mais il croyait à l’homme individuel, et cett
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
5 ité : rien d’autre au monde ne m’appelle. J’ai pu douter de l’être, et du devenir, et de toutes nos idées sur « Dieu », je n’a
6 de toutes nos idées sur « Dieu », je n’ai jamais douté de l’amour même. J’ai pu douter jusqu’au vertige de presque toutes le
7  », je n’ai jamais douté de l’amour même. J’ai pu douter jusqu’au vertige de presque toutes les vérités de la morale et de la
8 omprises, au retour d’un Orient de l’esprit. J’ai douté de la plupart des vérités successivement démontrées par nos sciences 
9 t démontrées par nos sciences ; et je ne cesse de douter de notre image du monde, du vide et des distances inconcevables calcu
10 ’on trouvera !) Mais je crois bien n’avoir jamais douté de tout cela, qu’en vertu et au nom de l’Amour. Il est la grâce indub
11 s pas de sens hors d’elle, ni d’autres raisons de douter , je veux dire : de chercher jusqu’au bout ce qu’un jour nous pourrons