1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
1 ndront, « faits par ordre du roi » ! Le roi ne se doutait pas que de ces récits eux-mêmes, naîtraient des idées capables d’ébra
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
2 pe à chaque page. Edward Gibbon (1737-1794) ne se doutait pas qu’il fondait une redoutable tradition par le titre de l’ouvrage
3 uvent étouffer dans l’âme des opprimés. … Peut-on douter que la sagesse ou les divisions insensées des nations européennes, se
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
4 viendra où tout cela sera bien fini. — Mais n’en doutez pas, l’intelligence et le goût de Beethoven passeront plus vite encor
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
5 ette immense occasion dont elle ne s’est même pas douté en temps utile qu’elle existât. Napoléon semble être le seul qui ait
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
6 e nous rencontrerons, et d’aveuglantes raisons de douter de nous-mêmes. Le grand historien comparatiste, Arnold Toynbee, a ten
7 et d’intégration plus poussée, nul n’en peut plus douter  ; mais le temps est une dimension qu’il s’agit de prendre au sérieux,