1 C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer. À la nuit, j’a

2 sur les sujets que je viens de nommer. Ils ne se doutent pas que c’est de cela précisément qu’un écrivain peut faire sa « spéc

3 jeunesse, d’ordinaire invisible, au point que je doutais même qu’elle existât. Elle était là. Elle occupait les longs bancs ra

4 vons ici, pour arriver à distinguer : eux ne s’en doutent pas, ils l’ont naturellement, et ne croiraient même pas qu’ils l’exig

5 uvre et spirituelle… 2 février 1935 Je m’en doutais bien, et la mère Calixte me le confirme : Simard me tient pour un min

6 ètement séparés du réel, et qui commencent à s’en douter . Gardons-nous de les décourager ! 21 juillet 1935 Je traversais

7 manière de se défendre, ce dont il est prudent de douter . Dites-vous encore que j’admire le Führer ? Laissez-moi plutôt admire

8 tombe. Mais on ne voit pas beaucoup de raisons de douter que son régime ne conduise à la guerre. Non pas que les chefs et les

9 omme sans lendemain. 4 avril 1939 « On peut douter qu’Hitler ait beaucoup d’imagination politique. S’il surprend à tout

10 airé par ce néon rouge ou bleuâtre qui sera, n’en doutons pas, l’éclairage de l’enfer… Les clients : demi-luxe et demi-monde. D

11 même pas une moyenne réputée honnête ? Ils ne se doutent pas que pécher par défaut est bien plus grave que pécher par excès, e

12 ompent, il n’y a pas de paix. Et ceux qui meurent doutent de l’utilité de leurs efforts et de leur sacrifice, mauvais temps. «