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e titre, que l’Assemblée européenne fût privée du
droit
de s’occuper des choses militaires et des choses économiques, s’écria
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point de liberté de critique et de recherche sans
droits
civiques et politiques et point de paix digne de ce nom sans, à la ba
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ntrer que nos libertés dépendent en fait de notre
droit
de différer, sans lequel il n’est point de dialogue créateur. Et que
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ration des Grecs, mais n’eût rien fait contre les
droits
des lords ou des capitalistes en Angleterre. À vrai dire, c’est un go
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et stérilisante, les foyers doivent défendre les
droits
de leurs diversités locales. J’insiste sur ce double mouvement, il fa
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rendre : pudeur ou foi dans la seule force du bon
droit
, de la clairvoyance alertée ? Sa vocation était tout attentive ; sa c
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te du moi dans le Tout. Le Soviétique n’a plus le
droit
de dire « je » que lorsqu’il s’avoue criminel. L’Européen seul a plac
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e mois. C’est dire que le lecteur moyen a bien le
droit
de demander à son tour, sans rougir de son ignorance : après tout, de
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sont les premiers menacés, n’auraient-ils pas le
droit
et le devoir de reconstituer une armée ? — Les Hollandais, les Belges
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nons de le voir. — « Mais si la France n’a pas le
droit
d’entretenir sa propre armée, comment défendra-t-elle ses colonies ?
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a souveraineté française et la restitution de ses
droits
égaux à l’Allemagne ». En fait, le traité ne rend à l’Allemagne une s
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elle qu’elle est, si prudente et respectueuse des
droits
de chacun des États membres, suffira pour notre défense. Je me pose m
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ationalismes, qui vont revendiquer à leur tour le
droit
de dominer l’époque, après s’être arrogé (au nom de la liberté) le dr
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ue, après s’être arrogé (au nom de la liberté) le
droit
de régner absolument sur leurs sujets. À cette fin, chacun prétendra
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l’Allemand, au nom de la « civilisation » ou du «
droit
», etc. Jusqu’au jour où seront proclamés certains « concepts de l’es
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s il n’y a plus de Dieu au-dessus des nations. Le
droit
divin se traduit donc par le droit de l’État le plus fort. Celui-ci n
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es nations. Le droit divin se traduit donc par le
droit
de l’État le plus fort. Celui-ci ne connaît plus d’autres obligations
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lera beaucoup de « concert des nations », et de «
droit
international », mais il est clair que ces États-nations-Individus re
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n’acceptent aucune instance supérieure à leurs «
droits
» et limitant leur « absolue souveraineté ». Pendant cent ans, l’Euro
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qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le
droit
applicable à chaque domaine ». Or il n’est pas un seul État européen
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ves à la souveraineté ne sont point posées par le
droit
, mais par les circonstances réelles du siècle, techniques, économique
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c l’époque, si je puis dire, il est aussi dans le
droit
fil des traditions les plus fécondes de l’Occident. On sait que l’Ori
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ersonne. (J’ai souvent défini la liberté comme le
droit
d’appartenir à plusieurs clubs !) Ce pluralisme redouté par le nation
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on fédérale, et comme tels, ils exercent tous les
droits
qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédé
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article 3, leurs constitutions, la liberté et les
droits
du peuple… (etc.) Ratifiés par la majorité du peuple et des cantons,
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hes nationalistes, c’est reconnaître aux États le
droit
d’élever ou d’abaisser des obstacles arbitraires à la circulation des
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, leurs œuvres et leurs vies : j’avais couru tout
droit
rue de l’Odéon, comme à la source la plus fraîche et la plus sûre… Qu
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e. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté
droit
, après ils dormiront enlacés, etc. Tous ces préliminaires ont pour bu
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d’ambassadeurs des cantons souverains, pourvus du
droit
de veto, cette Diète « n’avait en fait d’emprise sur les cantons que
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on fédérale et, comme tels, ils exercent tous les
droits
qui ne sont pas délégués au pouvoir fédéral. Article 5. — La Confédé
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article 3, leurs constitutions, la liberté et les
droits
du peuple, etc. Perdre notre souveraineté ? Non : la recouvrer
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qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le
droit
applicable à chaque domaine ». Or, on ne voit plus aucun État europée
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ives à la souveraineté ne sont plus posées par le
droit
, mais par d’implacables circonstances techniques, économiques et poli