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clergé de son siècle. On cite les répliques assez
dures
dont il gratifia plus d’un évêque ou supérieur de couvent venu le voi
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rté consiste à s’armer jusqu’aux dents au prix de
dures
privations ; dans un deuxième pays, la liberté signifiera le droit po
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n en mesure l’aune. Ces vérités élémentaires sont
dures
. Elles ne sont pas originales. Elles sont même grossières, et gênante
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— dépend de notre capacité d’accepter des vérités
dures
. Car tout le mal est venu de les avoir refusées, avant qu’elles montr
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ous donnera la force de préparer l’avenir. Il est
dur
de reconnaître ces fautes, parce que nous en sommes les complices, et
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complices, et que nous aimons les fautifs. Il est
dur
de les avouer, parce que les fautes contraires des autres, en face, n
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ent tout de même, ou à cause de cela même. Il est
dur
de reconnaître que ce châtiment, qui nous atteint aussi, est mérité ;
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esponsabilité devant l’Europe. Et cela suppose un
dur
effort contre nos goûts, nos sympathies et nos passions. Je ne sais p
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et de certaines suggestions, critiques peut-être
dures
, mais qu’il est temps de formuler pour préparer la voie d’un renouvea
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d, je l’avoue, mais que les Églises qui croyaient
dur
comme fer que leur mission était de régler la conduite morale de nos