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lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que
dure
la lutte le christianisme vainc : sa victoire est d’être éveillé. Tel
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parable. Car voyez-vous, Bell, rien ne rend aussi
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et aussi ardent que le malheur. Rien ne rend aussi brave et aussi pas
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les foules ? […] Ce Palais doit être construit en
dur
. Il doit survivre à l’Exposition. Pourvu, à côté des pavillons où se
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e la Pensée laïque ? Il faudra le construire « en
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». N’exagérons pas la portée de ces naïves fantaisies de commissions.
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Duhamel et les articles de M. Ducos, reliés « en
dur
» probablement25. Quant au Palais de la Parole, retentissant vaisseau
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pourquoi « notre bibliothèque sera construite en
dur
». — Déclaration fort équivoque. Pour quels ouvrages impérissables fa
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l’effort ; parce que la chose brute exige le plus
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effort, parce que l’homme est le plus humain là où les choses et les
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bleau n’est parfait ; et tout travail d’abord est
dur
, tout travail difficile, tout travail, toute espèce de travail se fai
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siasme un régime de travail parfois beaucoup plus
dur
que celui qui existe encore dans les pays capitalistes. L’avantage d’
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d’une raison brutale : il aura sans doute la vie
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, comme tout ce qui est irrationnel, et c’est la faute de la raison. C
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ste. Est-ce que tout le progrès acquis par une si
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révolution n’aura été que de donner aux hommes, avec quelques millier
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re une révolution de masses. Elles mènent une vie
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et s’en disent fières. Certes, elles ont sacrifié un certain nombre d
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omme disait Nietzsche. Nous disons « existence » (
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, naïve et banale) quand il parle d’élan vital. (Heidegger succède à B
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dame Calixte, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle
dure
, elle dure… Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu
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e, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure, elle
dure
… Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu’elle ne ve
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celui du tenancier de grand palace. (Ramuz, plus
dur
, parle de portier d’hôtel…) Et je ne dis pas que cette interprétation
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serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui
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sur le mensonge. Il n’y a personne au monde qui puisse me combler : à
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à une signification. L’Américain croit aux faits,
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comme fer. Il les réduit d’ailleurs en chiffres et se sent aussitôt r
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ns — je connais leurs complexes — trouveront trop
dures
pour l’Amérique les quelques pages qui précèdent. L’Amérique a les re
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éens et je leur dis : si vous voulez que l’Europe
dure
encore — et le reste du monde en a besoin — ne vous contentez pas d’a