1
d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’aube
dure
. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où nous
2
ne, succombant à ses bagues. On voudrait que cela
dure
longtemps, on voudrait comprendre ce qui se passe… Mais le poète refe
3
ythme d’une respiration, l’envahissement de cette
dure
connaissance ! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me
4
confusion de violet sombre, et par la seule ligne
dure
de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où t
5
rps de janissaires tout au plus. Mais ces hommes
durs
, silencieux, et sains, servants des terres conquises par les chevalie