1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 droit. Et ce n’est pas une sécurité, ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce jardin et cett
2 pendant, il est difficile, à la longue — car cela dure , croît et embellit depuis vingt ans —, de se refuser systématiquement
3 ées et naïves, conduites par des équipes d’hommes durs , intellectuels bannis ou petits nobles déclassés ; le triomphe implac
4 tion. Nous ne savons pas que lire. Le travail est dur , ici. Il faut lutter contre les parents, contre la concurrence de l’é
5 raiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière t
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
6 dame Calixte, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure , elle dure… Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu
7 e, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure, elle dure … Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu’elle ne ve
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
8 es vont se poser autrement. Tout est soudain plus dur et agressif, tendu, nerveux, discontinu… Nos valises empilées dans un