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u sacrifice au bien commun, des vertus viriles et
dures
. Le bonheur individuel est devenu notre tabou : signe de décadence d’
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elque chose l’appui sans restriction d’une morale
dure
, d’une coutume intransigeante, ou d’une foi plus forte que la vie. Il
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déprimée comme la nôtre doit recourir aux valeurs
dures
et rationnelles. Elle se doit de restaurer d’urgence des interdits dr
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prenant. Cela paraît absurde et révoltant. Il est
dur
de se défaire de l’idée qu’on était né pour vivre heureux. Jadis la t
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st pas encore notre consolation, mais il est plus
dur
que la mort et le mutisme de la mort, il est plus pur que nos douleur