1 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
1 u sacrifice au bien commun, des vertus viriles et dures . Le bonheur individuel est devenu notre tabou : signe de décadence d’
2 elque chose l’appui sans restriction d’une morale dure , d’une coutume intransigeante, ou d’une foi plus forte que la vie. Il
3 déprimée comme la nôtre doit recourir aux valeurs dures et rationnelles. Elle se doit de restaurer d’urgence des interdits dr
4 prenant. Cela paraît absurde et révoltant. Il est dur de se défaire de l’idée qu’on était né pour vivre heureux. Jadis la t
5 st pas encore notre consolation, mais il est plus dur que la mort et le mutisme de la mort, il est plus pur que nos douleur
2 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
6 n d’une harmonie nouvelle, d’un style de vie plus dur et plus joyeux… J’appelle et je pressens — c’est une phrase de Poe qu
7 gnons un regard aux étendues de pureté ardente et dure du bleu du ciel au cœur du jour ! 14. Proverbes 26, 4 et 5. 15. A