1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 rien à sauver, et qui ne s’en montrent que plus «  durs  ». Cet excité croit-il vraiment à ses idées ? — Je pense bien, me dit
2 ans lendemain prévisible. Et pourtant le désordre dure . Il se confond avec notre vie même, avec la Vie ! Certes, l’anarchie
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
3 oûtement de l’esprit par le corps — pourvu que ça dure encore quelques secondes, ça ressemble tellement au bonheur ! Un cri
4 le regard net, accoutumé à taxer le réel avec une dure exactitude : face au danger. Leur Suisse est au sommet de son élan ve
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 leurs jugements et un style tough (nous dirions «  dur  » ou « vache ») leur défaut de responsabilité. Tout cela ne les empêc
6 and il n’en est point de visible. La créer. C’est dur , me semble-t-il, et chaque fois davantage. Et cependant ? N’est-ce pa
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 ises de l’Hudson, au bas d’un ciel tout propre et dur , ô pureté de l’air nordique, exactitude du regard ! Dur est ce contin
8 pureté de l’air nordique, exactitude du regard ! Dur est ce continent, et la vie qui m’y attend — je l’ai connue tout just
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
9 types, visières vertes aux fronts sous les lampes dures , manches retroussées, fatigue, paniques locales entre des groupes qui
10 et une littérature, plus quelques âmes de climat dur , de Pascal à Rimbaud, de Calvin à Saint-Just. Chance anormale : chanc
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
11 c hostilité. Il a les yeux d’un bleu très pâle et dur . Il n’a pas salué. Son silence nous supprime. C’est sans doute le nou
7 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
12 s découvrent que pécher par défaut, dans ce temps dur , est plus grave que pécher par excès. On ne saurait exagérer la profo