1 Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure  ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan

2 après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure  : Tant s’entr’aiment de bonne amor L’un par l’autre ne sent dolor. D

3 ir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ? ») Un dernier trait : lorsque Tristan reçoit la ré

4 e de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle et dure merci, pourvu que vous m’accordiez que par vous au ciel je tende ! (U

5 ion de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de purification ». (Ibid.) Tristan n’est qu’une impure et

6 ’Iseut lorsqu’il la rend à son époux :         Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les

7 « passionnettes ». Le dieu d’Amour n’est plus un dur destin mais un enfant impertinent. Presque plus rien n’est défendu. D

8 te aérienne je m’unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptiale ! Et l’on devrait citer tout

9 l courtois, radicalement contradictoire avec la «  dure réalité » de l’époque : il représente un pôle d’attraction pour les a

10 serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui dure sur le mensonge. Il n’y a personne au monde qui puisse me combler : à