1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 out à la ronde par d’âpres montagnes, et là c’est dur de rester. Mais là où c’est plat, c’est un bon pays, et y croissent t
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
2 er, comme Jean Bodin, ou se bornent à décrire ses dures nécessités, comme Machiavel. Certes, pour Jean Bodin (1529-1596), dan
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
3 ance, une politique si sage dans les livres et si dure dans la pratique, des chefs si bienfaisants et des peuples si misérab
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
4 cachions du marteau. Et il vous présentera un dos dur et froid, et la barre sera frappée et refrappée si bien qu’on ne la r
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
5 le : entre la Réaction à la France jacobine et le dur pessimisme historique qui marquera la fin de l’ère des Nations, il a
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
6 ir prochain (le xxe siècle) un jugement des plus durs , aujourd’hui confirmé : Vous ne croirez jamais quel cas on fait de c
7 rançais et la musique non romantique, les valeurs dures , nettes, sans mélange. Quant au chaos moderne, il nous conduit au pir
8 ! Il ne faut pas que cet absurde état de l’Europe dure plus longtemps ! Y a-t-il une pensée quelconque derrière ce nationali
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
9 ec les dieux qui le persécutent, mais supporte un dur destin avec la patience de Job. Revêtu d’un costume moderne, Ulysse a
10 ussi est idolâtre.285 Spengler n’est pas moins dur . Rome n’est pour lui que la « civilisation » extérieure et artificiel
11 vient de l’Est, il semble que ce soit le pays des dures réalités. Située entre l’Amérique, où la volonté l’emporte sur l’espr
12 eau ce que le docteur Johnson voulait dire par sa dure parole : patriotism is the last refuge of scoundrel ; et Grillparzer,