1 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
1 ennes et de faire nombre. On y verrait des élites dures , aux disciplines prestigieuses, le triomphe des petits groupes sur la
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
2 u sacrifice au bien commun, des vertus viriles et dures . Le bonheur individuel est devenu notre tabou : signe de décadence d’
3 lque chose, l’appui sans restriction d’une morale dure , d’une coutume intransigeante, ou d’une foi plus forte que la vie. Il
4 déprimée comme la nôtre doit recourir aux valeurs dures et rationnelles. Elle se doit de restaurer d’urgence des interdits dr
5 prenant. Cela paraît absurde et révoltant. Il est dur de se défaire de l’idée qu’on était né pour vivre heureux. Jadis la t
6 st pas encore notre consolation, mais il est plus dur que la mort et le mutisme de la mort, il est plus pur que nos douleur
3 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
7 n d’une harmonie nouvelle, d’un style de vie plus dur et plus joyeux… J’appelle et je pressens — c’est une phrase de Poe qu
8 gnons un regard aux étendues de pureté ardente et dure du bleu du ciel au cœur du jour ! 1942 et 1944. 27. Proverbes 26
4 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
9 , qu’un fonctionnaire, qu’un administrateur des «  dures nécessités » (ce sont les seules qu’il admette), un agent du Sens de
10 e part du diable est en fin de compte celle de la dure nécessité de prolonger dans le temps nos existences — « persévérer es