1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 premier auteur d’un plan d’union de nos États, au début du xive siècle. Nous avons décidé d’aller beaucoup plus haut. Cette
2 . La conquête de la Gaule par César va marquer le début de la fusion séculaire du monde continental et du monde méditerranéen
3 et devint mère. C’est sans nul doute le songe du début de l’Idylle qui contient, pour nous tout au moins, la véritable signi
4 ette gracieuse allégorie décorative — le songe du début mis à part — n’évoquent ou ne préfigurent aucune réalité historique o
5 es des Phéniciens. On voit aussi combien, dès ces débuts fabuleux, il paraît difficile de « retrouver Europe » ! C’est la pour
6 phabet en Grèce, et plaçait la venue de Cadmus au début du xve siècle ». Or les trouvailles récentes de l’archéologie confir
7 ceptable pour les apologètes. Il faut attendre le début du Ve siècle de notre ère pour voir reparaître — et c’est la première
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
8 n’ont-ils été lancés — en vain d’ailleurs — qu’au début du xive siècle ? Ne serait-ce point parce qu’en ce temps paraît la p
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
9 grande chaleur. Le véritable sens de la phrase du début est celui-ci : le genre humain, sur les points communs qui intéressen
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
10 du temps : ce sont les grandes découvertes et les débuts du colonialisme, la Réforme, et l’échec de la grandiose tentative imp
11 oblème d’un droit international qui sera fondé au début du xviie siècle par Hugo Grotius, à partir du droit maritime ; et le
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
12 usion à Jean Bodin, cité plus haut. 93. Voici le début du titre primitif : Mémoires des sages et royales oeconomies d’Estat,
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
13 nyme dont le titre tient en dix lignes ; voici le début  : Allgemeine und General Reformation der gantzen weiten Welt. Beneben
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
14 n fragment latin intitulé : « État de l’Europe au début du nouveau siècle », Leibniz écrit : Finis sæculi novam rerum facie
15 l’esprit qui se produit à la fin du xviie et au début du xviiie siècle. Tout ce qui compte en Europe s’est remis à voyager
16 même, en se comparant aux peuples d’outre-mer. Au début et au terme de cette vaste enquête, plaçons en épigraphes quatre cart
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
17 Pierre, par J. J. Rousseau, citoyen de Genève. Au début , l’éloge est fervent, bien que Rousseau n’entende pas perdre son sens
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
18 jeunesse un disciple de Kant, dont il partagea au début l’enthousiasme pour la Révolution. Mais la lecture des Reflections on
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
19 s ne sommes pas encore au bas de la courbe, en ce début du xixe siècle. Pourtant nous aurions tort de désespérer de l’Europe
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
20 vement par quelques citations fort disparates. Au début , Heine épouse l’idéologie herdérienne d’une Europe des « nationalités
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
21 emble unifié, mais qu’elle a toujours été, dès le début , — pour reprendre une expression de Schelling — « un peuple de peuple
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
22 e pendant le règne de la Grande Catherine. Dès le début du xixe , c’est le tour des philosophes allemands : Baader, Görres, H
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
23 nd David Strauss. Sa première lettre est datée du début de la guerre, sa seconde lettre de la fin. L’idée de fédération y sur
24 es, quand ces choses n’en seront encore qu’à leur début et que la civilisation aura à peine commencé son déclin. Il m’arrive
25 péen, sans doute, qu’aucun de ses compatriotes au début de ce siècle, il n’a parlé de l’Europe que sur le ton d’un sombre dép
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
26 eillissement) cette grande période montra, dès le début du xive siècle, les signes d’un déclin qui se précipita rapidement d
27 t toujours plus instable, jusqu’à ce qu’enfin, au début du xvie siècle, se produisît l’explosion si longtemps attendue et re
28 es. Ce fut l’inverse de ce qui s’était produit au début de notre civilisation : alors, notre religion avait sauvé le monde an
29 invariables les garantissant, nous conduisit, aux débuts du xxe siècle, jusqu’au bord du chaos et à des dissensions entre les
30 de vie ; la fin de la culture, ou au contraire le début d’une ère de développement ininterrompu. Certes, nous sommes frappés
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
31 hristianisme. » Accordons à notre historien qu’au début de l’Europe cette communauté de civilisation ait existé. Allons même
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
32 ysos. On sait ce qu’ils ont fait des chrétiens au début … L’inspiration vraiment chrétienne a été heureusement conservée par l
33 iale de l’idéal chrétien… Au dernier siècle et au début du présent, ils ont certainement été enclins à faire de l’histoire un
34 ne historique, dans l’allégeance à l’Europe. … Au début du xiiie siècle, César de Heisterbach nous livre ce proverbe dont ta
35 ncre la conscience tragique ou de l’éviter dès le début , donne sa signification à la vie dans une réconciliation transcendant