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saurait nous plaire davantage. À tel point que ce
début
du Tristan de Bédier doit passer pour le type idéal de la première ph
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enture comme la vraie fin, le désir désiré dès le
début
de la passion, la revanche sur le destin qui fut subi et qui est enfi
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l’Évangile appelle « mort à soi-même », c’est le
début
d’une vie nouvelle, dès ici-bas. Ce n’est pas la fuite de l’esprit ho
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es hérésies se propagèrent très rapidement dès le
début
du xiie siècle. Elles s’insinuèrent d’une part dans le clergé, où no
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l’Éros. Or nous avons déjà fixé sa date : vers le
début
du xiie siècle. (Date de naissance de l’amour-passion !21). Et nous
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e les tendances hérétiques de ces cours. Voici le
début
d’une chanson de Peire Vidal : Mon cœur se réjouit à cause du renouv
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ent la nuit nous enveloppe ! » Tout comme dans ce
début
d’une autre « aube »43 anonyme : En un verger, sous une loge d’aubép
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de formules creuses on le peut admettre. Mais au
début
et jusqu’à la fin du xiie siècle il n’en était pas ainsi : chez les
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doxie64. De là les tentatives multipliées, dès le
début
du xiie siècle, pour instituer un culte de la Vierge. Marie reçoit g
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vième duc d’Aquitaine, qui mourut en 1127. Dès le
début
du xiie siècle, ces « lois d’Amour » sont donc déjà fixées, comme un
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se détachera du mythe provisoirement exténué — au
début
du xviie siècle. 12.Des mythes celtiques au roman breton Tris
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, fut le fait de Gottfried de Strasbourg, vers le
début
du xiiie siècle. Gottfried était un clerc, qui lisait le français (i
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inal. Pour le chrétien, la mort à soi-même est le
début
d’une vie plus réelle ici-bas, non la catastrophe de ce monde. D’aill
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ts de la chair attirée par l’élan mystique en ses
débuts
(Nuit obscure, I, v. 3), ne s’exagère pas plus qu’il ne se la dissimu
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fut surtout sensible dans la bourgeoisie. Dès le
début
du xiie siècle, en plein triomphe de l’amour courtois, l’on voit par
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si l’on en croit Froissart, coûta la vie, dès le
début
de l’ordre, à plus de quatre-vingts d’entre eux. » De même, les néces
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éclin de la chevalerie. Celle-ci se heurte dès le
début
du xve siècle (bataille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus
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rnages. Et en effet au combat de Rapallo, tout au
début
de la campagne, sur les 3000 hommes engagés, plus de 100 furent tués
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remarque Guichardin. Et ce n’était vraiment qu’un
début
! Burckhardt affirme que les dévastations françaises furent peu de ch
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« Je ne suis point pour les batailles, surtout au
début
d’une guerre. Je suis persuadé qu’un bon général pourra la faire tout
21
incipes de la guerre : La guerre fut nationale au
début
pour conquérir et garantir l’indépendance des peuples : Français de 1
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auté standard ». De nos jours — et ce n’est qu’un
début
— un homme qui se prend de passion pour une femme qu’il est seul à vo
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avons assisté depuis la Première Guerre mondiale,
début
de l’ère totalitaire. Les Églises font un honorable effort de redéfin
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nture fameuse de la princesse de C… donna lieu au
début
du siècle à toute une littérature romanesque. Quant au thème de l’ouv
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, soit d’une jalousie masochiste, soit enfin d’un
début
d’impuissance. Et en effet, la conduite de Don Juan est bien typique
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que courtoise « À la fin du xiie siècle et au
début
du xiiie , nous voyons se multiplier les témoignages qui attestent à
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x.) Les béguines, confondues avec les cathares au
début
, furent souvent persécutées par l’Église. L’une fut même brûlée vive
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d’abord lum et clartaz. Mais c’est précisément du
début
de ce chant que Simone Weil écrit merveilleusement : « Quelques vers
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m’échappe ou comme Matfre Ermengau (fin xiiie ,
début
xive ) : Le plaisir de cet amour se détruit quand le désir trouve so
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r de l’analyse structurelle des textes, relève au
début
de son étude sur Guillaume de Poitiers237 les treize systèmes d’expli
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m quasi monasteriola, imitant les « cabanes » des
débuts
de Fontevrault, et il y loge des courtisanes aussi peu « relevées » q
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résie cathare n’est pas absente du Poitou dès les
débuts
de son expansion européenne. Elle y parvient à peu près dans le même
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que la passion anéantit son objet. Sa brûlure, au
début
délicieuse, qu’on appelle l’état amoureux, n’est que sa forme encore