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té, fédéralisme et défense de la Suisse. Si je me
décide
à réunir ces textes — les uns « parlés », les autres écrits — c’est q
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re valables de parler. Vous voyez que je n’ai pas
décidé
de me taire. Or dans cette décision de parler quand même, il y a déjà
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Car supposez qu’un homme se sente une vocation et
décide
de la réaliser. Il se trouve en présence d’un monde que l’histoire et
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us demandent quelle est la Suisse que nous sommes
décidés
à défendre. Voilà le défi que nous adresse l’Europe moderne. Il s’agi