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s, il faut une organisation : hors de là, tout se
décide
par la force. » De ces doctrines cependant ne devait pas résulter l’u
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relle s’organise en Europe et pour l’Europe, bien
décidée
à transformer en réalités fédéralistes immédiates la guerre des États
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rs chefs, rassemblés à Montreux à l’automne 1947,
décident
de convoquer pour le printemps suivant des états généraux de l’Europe
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s personnels, des occasions et des moyens de nous
décider
nous-mêmes, donc d’être libres. Car la seule liberté qui compte pour
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des autres, et non celle que l’État ou le parti a
décidé
de m’imposer toute faite. Si je perdais cette liberté fondamentale, a
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ion neuve ou telle fraction de son intelligentsia
décide
d’adopter nos conceptions sécularistes de l’existence, désacralisée,
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D’une façon plus précise, en Europe, il nous faut
décider
si notre union aura pour but la puissance collective ou la liberté de
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tive ou la liberté des personnes. Il nous faut le
décider
, en toute conscience, et vite, car le choix de la fin implique évidem
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dra sérieux le jour où les ministres responsables
décideront
de faire élire par leurs peuples un parlement européen doté de pouvoi
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l’État unitaire, mais que ses propres « plans »,
décidés
à Paris, vouent à l’inexorable renaissance de ses provinces rajeunies
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l faut pour pouvoir résister, c’est-à-dire qu’ils
décident
de résister tous ensemble — et alors ils renoncent à leur souverainet
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tructure proudhonienne, sans que soit pour autant
décidée
la structure des réseaux d’échange et groupes de production économiqu