1 is non le fond — lui eût semblé imparfaite), nous décidâmes de nous en tenir à des corrections minimales, nous contentant d’élimi

2 ns la polis grecque où tous se rassemblaient pour décider sur l’agora. Ainsi, l’exercice de la volonté générale, contrairement

3 c’étaient elles qui choisissaient les faits, qui décidaient parmi les milliards de choses qui se passent dans le monde, des faits

4 d’autre souci que celui de son tirage. Mais elle décide elle-même, sans nulle enquête sérieuse, de ce qui sera vendable ou no

5 e et la formule stato-nationale. Au contraire, on décide , avec l’aide du président Wilson, de pousser encore plus loin le déco

6 D’une façon plus précise, en Europe, il nous faut décider si notre union aura pour but la puissance collective ou la liberté de

7 s éloignés du centre et subissent ce que celui-ci décide . Ils deviennent des individus passifs. C’est le règne de l’individual

8 ption de l’homme citoyen ; non pas le citoyen qui décide librement en conseil des graves questions d’État, mais le citoyen qui

9 s propre et originel du terme : à la nécessité de décider librement notre avenir commun dans la cité, de le prévoir en fonction

10 se mettre martel en tête pour savoir lequel on a décidé d’employer aux dépens des autres. Il est extrêmement rare qu’un homme

11 e la politique. Faire des choix politiques, c’est décider , en toute liberté et responsabilité, notre avenir dans la cité en fon

12 de vie matériel et le mode de vie qualitatif, on décide que le mode de vie doit triompher et le niveau de vie être un peu sac