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nt bien souvent les mêmes qui, faisant demi-tour,
déclarent
qu’on ne peut unir notre vieux continent à cause des profondes différ
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u’elles sont la vraie réalité. Que dis-je, on les
déclare
même éternelles dans la prose poétique des banquets et des éditoriaux
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, au dernier moment, quelqu’un qui se levait pour
déclarer
: Mais ce n’est pas possible ? Rougemont ? Un Suisse ? Un étranger ?
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leur « sagesse » intacte et leur famine, mais de
déclarer
nos valeurs ? Ils nous obligent à nous interroger sur ce qui va de so
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d’un homme sage ». En conséquence, l’empereur se
déclarait
partisan d’une « organisation fédérative où chaque canton se trouve o
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e presse qui « à peu d’exceptions près — comme le
déclarait
un des membres — relatent ordinairement le contraire de ce qui s’est
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lle ou prévisible, que la désunion persistante et
déclarée
du monde chrétien est un scandale, j’entends bien : un scandale spiri
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erre, qu’elle soit civile ou étrangère, froide ou
déclarée
, justifie toujours le sacrifice « temporaire » de certaines libertés.
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de droit international, Johann Gaspar Bluntschli,
déclare
au sujet de son petit pays : La Suisse a clarifié et réalisé dans so
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etenues ou renouvelées sans cesse par notre refus
déclaré
de toute doctrine unique et unifiante, imposée par une force extérieu
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etenues ou renouvelées sans cesse par notre refus
déclaré
de toute doctrine unique et unifiante, imposée par une force extérieu
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(Adolphe Thiers, historien et ministre français,
déclare
en 1833 que la locomotive est « une simple amusette scientifique ».)
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ortante de techniciens. Deux exemples : la France
déclare
qu’elle manque dès aujourd’hui d’environ cinquante mille techniciens
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gie spirituelle. Son parti pris fondamental, seul
déclaré
, était celui d’un absolu monothéisme, au nom duquel il récusait toute
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dience du Conseil fédéral. Ils ont mission de lui
déclarer
que s’il cède aux exigences des nazis, tout est prêt pour le renverse