1 ples. Le mot fédéralisme est tabou à Strasbourg, déclarait il y a quelques années un représentant du Conseil de l’Europe : je co

2 assion, c’est autre chose. Tant qu’il n’est pas «  déclaré  », c’est comme s’il n’existait pas. Grâce à la littérature, la passio

3 de Littré, et nous pourrions nous en tenir là, et déclarer le problème inexistant, s’il n’y avait dans le même Littré ces deux p

4 e philosophe allemand Karl Jaspers n’hésita pas à déclarer que l’Europe n’avait plus le choix qu’entre deux solutions : la balka

5 évision, la politique se veut normative. L’une se déclare indifférente aux fins ; toute préférence ou parti pris ne pourraient

6 reprenne », compare les promesses aux réalités et déclare à ses risques et périls : « Le Roi est nu. » Il n’en va plus de même

7 st européen. Presque partout, ces ethnies brimées déclarent souffrir d’un sous-développement économique (par rapport à l’ensemble

8 que la région à laquelle on les a rattachés soit déclarée « compétitive » avec la Ruhr, le Piémont ou les Midlands. Car une rég