1 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
1 ssité et urgence de l’union Quand un Américain déclare que votre idée est généreuse, c’est qu’il est ému : il va vous aider.
2 te évident que si les deux Grands continuent à se déclarer la paix sur ce ton-là, cela finira par des coups. Une seule puissance
3 llions d’habitants faisaient bloc, soit qu’ils se déclarent neutres, soit qu’ils menacent de porter tout leur poids d’un seul côt
2 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
4 président de la Commission, M. Bidault, peut déjà déclarer qu’il s’orientera nettement vers une fédération finale. Il est clair
5 peut à la fois lutter pour l’union de l’Europe et déclarer qu’on ne touchera pas à ces sacro-saintes souverainetés.) Mais au lie
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
6 les Romains, si les Occidentaux eux-mêmes avaient déclaré en leur temps : point de culture tant qu’il subsiste de la misère et
4 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
7 out le contraire d’un iconoclaste — mais quand il déclare , dans sa Réponse à Job, que la proclamation du dogme de l’Assomption
5 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
8 me. Le représentant du Conseil de l’Europe tint à déclarer aussitôt que le terme de fédéralisme étant tabou à Strasbourg, il se