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uisqu’il n’y a plus rien à unir. D’autre part, il
déclare
souveraine la nation unifiée de la sorte, qui se conduit alors vis-à-
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hoix que certains nous proposent, ou que d’autres
déclarent
noblement décliner ? Il est parfaitement illusoire. Car la Russie, en
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s n’acceptons pas d’être ses satellites elle nous
déclare
et nous croit ses ennemis, et les esclaves de l’Amérique. Et tout le
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es de Genève, le philosophe allemand Karl Jaspers
déclarait
que l’Europe n’a plus de choix qu’entre la balkanisation et l’helvéti
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e union prend l’allure à la fois d’un antiracisme
déclaré
et d’un antinationalisme. L’instinct contrecarré devient conscience ;
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iser la nouvelle Résistance européenne, nous nous
déclarons
responsables, par le seul fait que nous sommes ici pour fédérer tous
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aujourd’hui la planète. Le défaitisme consiste à
déclarer
que la guerre des deux blocs est fatale : inutile de rien faire en l’
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mage pacifiante vers laquelle dès maintenant nous
déclarons
marcher : une Europe solidement fédérée, au service de la liberté et
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servateurs envoyés par le United Europe Committee
déclarèrent
que le président de ce mouvement, Winston Churchill, avait également
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ivis de certains hommes en dehors des partis, ont
déclaré
que l’absence des travaillistes donnerait à ce congrès une couleur po
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sont manifestes et menaçants, car leur conflit se
déclare
sans issue, l’Europe se doit et doit au monde d’inaugurer la troisièm
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base de travail ou d’accord. Qui donc oserait se
déclarer
contre un peu plus d’union en général ? Les fédéralistes, au contrair
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éralisme efficace. Très peu parmi les délégués se
déclarèrent
adversaires de nos thèses. Certains ne redoutaient à vrai dire qu’« u
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nner une voix à tous les peuples de ce continent,
déclarons
solennellement notre commune volonté dans les cinq articles suivants,