1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
1  : la Foi succédant à la Loi. Car cette Loi qu’il déclare périmée n’est pas seulement la Thora juive (quoi qu’il en pense) mais
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 l n’est pas vraiment là tant qu’il ne s’est pas «  déclaré  ». Nommer certaines tendances, croyances ou passions, c’est donner li
3 tre utile d’ignorer ce que l’on vit, et de ne pas déclarer où l’on va, il est bon de savoir d’où l’on vient. Cherchant les origi
4 ourrait exiger maintenant ce vide de l’âme qui se déclare , — maladie mortelle de tout Ordre qui n’a su qu’encadrer l’anarchie ?
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
5 ac quod vis ! La passion de Tristan ne pouvait se déclarer dans sa grandeur tragique et obsédante qu’au sein d’un monde qui avai
6 extérieur elle va devenir un instrument de guerre déclarée . Pourquoi la nation doit-elle faire la guerre ? Tout d’abord, parce q
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
7 ieu est aussi présent dans l’intestin d’un pou », déclare Luther — inaugurant ainsi la poésie moderne, sœur des sciences. Les «
8 puis longtemps ; avec les encyclopédistes elle se déclare , et jusqu’aux débuts de notre siècle, la majorité des savants tiendra
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
9 reste pas moins exemplaire. 72. En 1833, Thiers déclare que la locomotive est « une simple construction d’amusette scientifiq
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
10 est se rendre à l’excès tributaire de ce que l’on déclare « dépassé ». C’est s’interdire d’être vraiment de son temps, d’être v
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
11 s Sumériens, les Égyptiens et les Romains avaient déclaré en leur temps : « Point de culture tant que des hommes ont faim ! » i