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x dépens de l’allégeance impériale, même s’ils se
déclarent
gibelins. Parmi ces vassaux, les Habsbourg, qui possèdent fiefs et av
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1848, dans ses articles militaires, commence par
déclarer
: « Il ne peut être conclu de capitulations militaires » (art. 11). À
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moi votre neutralité est un mot vide de sens ! »,
déclarait
Bonaparte aux délégués de la Diète. La chute de l’ancienne Suisse, l’
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Confédération. Ainsi la Suisse, implicitement, se
déclarait
la seule maîtresse de sa neutralité. En omettant d’en faire un princi
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’est pas mûr pour unir ses vingt-cinq nations. On
déclare
que la grande Europe ne saurait se fédérer en quelques lustres, puisq
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vers la fin du xixe siècle et ne s’est vraiment
déclarée
qu’au premier tiers du xxe siècle. Il s’agit donc d’un phénomène mod
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que unitaire ne serait jamais un corps vivant, il
déclarait
en préambule à l’octroi d’une nouvelle constitution (connue sous le n
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aines. En 1829, le vieil historien Henri Zschokke
déclare
dans un discours qui fait du bruit : Il est manifeste que la grande
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i-cantons l’acceptent, six s’abstiennent, cinq se
déclarent
hostiles. — Entre le 5 août et le 2 septembre, le peuple de chaque ca
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itution fédérale est « solennellement acceptée et
déclarée
loi fondamentale de la Confédération suisse ». — L’Assemblée fédérale
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Article 8. — La Confédération a seule le droit de
déclarer
la guerre et de conclure la paix, ainsi que de faire avec les États é
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lle impliquerait l’abandon préalable, volontaire,
déclaré
, et au surplus contraire à la Constitution, de leur sacro-sainte souv
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le délégué de Vaud, partisan de l’union fédérale,
déclare
qu’il s’agit de savoir si la Suisse est un peuple, un corps politique
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t le xixe siècle aux États-Unis et en Suisse, se
déclare
finalement comme doctrine politique, comportant une morale sociale et
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genevois, le grand naturaliste A.-P. de Candolle
déclare
en 1832 : « Que veulent les partisans du nouveau pacte ? Ils veulent
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c’est-à-dire passer la frontière avec l’intention
déclarée
d’adhérer aux règles du club, à l’American way of life. Après quoi vo
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ieu. « En Suisse, la commune est un petit État »,
déclarait
récemment le conseiller fédéral Roger Bonvin, réinventant la définiti
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Honegger dans son atelier de Montmartre. Il avait
déclaré
peu de temps avant : « La seule forme théâtrale à laquelle je crois p
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’âme humaine ». Mais tous deux meurent en conflit
déclaré
avec leur Église établie, témoins de l’absolu subjectif. Vinet écrit
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out le contraire d’un iconoclaste — mais quand il
déclare
, dans sa Réponse à Job, que la proclamation du dogme de l’Assomption
21
e Genève, Théodore Flournoy n’avait pas craint de
déclarer
: « Nous aurions cherché un moyen d’abrutir nos enfants que nous n’au
22
e sa réforme, à Zurich, datent de 1518, lorsqu’il
déclare
, du haut de la chaire, qu’il se propose d’expliquer la doctrine chrét
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e mondiale. « Neutres, mais non pas pleutres ! »,
déclaraient
fièrement nos publicistes, qui surcompensaient le reproche qu’ils dev
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tique. Et quant à ceux — nombreux en Suisse — qui
déclarent
que le Marché commun vise en réalité à ce type d’unité, c’est qu’ils
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plus célèbres professeurs de sciences politiques
déclara
au sujet du pool charbon-acier, comme on appelait à l’époque la CECA
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t en 1815, elle a perdu ses bases contractuelles.
Déclarer
, par exemple, que la Suisse se devrait de rester neutre, même en cas
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ême la fin de notre fédéralisme, n’hésitent pas à
déclarer
de nombreux politiciens et journalistes. Réponse : Le professeur Pau
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mplacer par un sentiment européen », ainsi que le
déclarait
le 3 mai 1962 M. Homberger, directeur de l’Union suisse pour l’indust
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moins vite par un retour à la santé, une maladie
déclarée
, ou la mort. Je n’oublie pas que le discours est d’une logique plus e
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ur de l’Europe. C’est ici que l’Europe devrait se
déclarer
, jurer son Pacte et se constituer. La Suisse fondrait alors en elle s
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endues frontières naturelles. La même journaliste
déclarait
que l’objectif de l’émission était de « trouver une faille dans la st