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ssité et urgence de l’union Quand un Américain
déclare
que votre idée est généreuse, c’est qu’il est ému : il va vous aider.
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te évident que si les deux Grands continuent à se
déclarer
la paix sur ce ton-là, cela finira par des coups. Une seule puissanc
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llions d’habitants faisaient bloc, soit qu’ils se
déclarent
neutres, soit qu’ils menacent de porter tout leur poids d’un seul côt
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raction dérisoire du budget militaire. Là où l’on
déclare
« ruineux pour l’État » un subside culturel d’un million, on trouvera
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n unité ; et malgré le plan Marshall, dont le but
déclaré
est d’aider l’Europe comme un tout. Aucun des sacrifices nécessaires
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dernes de communiquer avec les masses, et nul n’a
déclaré
devant nous qu’il connaissait et assumait les conditions d’une commun
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t la seule qui ait conquis le monde entier. Si on
déclare
qu’elle va mourir, cela revient à dire qu’il n’y aura plus de civilis
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la guerre de 1914. Un homme politique français a
déclaré
: « Le pouvoir personnel finit toujours mal. » Bon. Mais qu’en est-il
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d’une civilisation dont les auteurs eux-mêmes se
déclarent
effrayés. Au moment même où il voit sa technique et ses valeurs techn
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: Adolphe Thiers, historien et ministre français,
déclare
en 1833 que la locomotive est « une simple amusette scientifique, san
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chniciens. Deux exemples me suffiront : la France
déclare
qu’elle manque dès aujourd’hui d’environ cinquante mille techniciens
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ouci soit de s’intégrer dans une évolution qu’ils
déclarent
« nécessaire » ; dans on ne sait quelle logique hégélienne de l’Histo
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siècle et achevés le totalitarisme (plus ou moins
déclaré
selon les pays) au xxe siècle ; ils ont voulu partir de ces nations